L’heure de la critique : E G8 25-26 Mai 2011

L’heure de la critique : E G8 25-26 Mai 2011

C’est une première à laquelle des têtes d’affiche du monde numérique du monde entier ont répondu présent. Pour les fans de nouvelles technologies, l’e-G8 est comme Cannes pour les cinéphiles, un moment pour compter les têtes d’affiche.

Ce sont près de 1000 décideurs et observateurs de l’Internet qui se sont  réunis à Paris les 25 et 26 Mai pour participer à l’e-G8. Des pointures de l’économie numérique, comme Mark Zuckerberg, le fondateur du réseau social Facebook et Éric Schmidt, le président de Google, ont fait le déplacement.

Un appel  aux acteurs du Web à ne pas s’affranchir des règles de droit et de la morale a été lancé. Une mise en garde  contre un Internet dangereux a aussi été soulignée, celle de la pornographie et du terrorisme.

Lutte contre la pédophilie, lutte contre le terrorisme et lutte contre le téléchargement illégal : le président  Nicolas SARKOZY a rappelé les trois menaces qui le poussent à restreindre les libertés sur le Web français.

La CNIL, a réagi en envoyant un communiquée se plaignant de l’absence du thème de la protection de la vie privée lors du sommet. « Oubli ou rejet ?, se demande la CNIL.

Mais cette rencontre  n’est elle pas  importante afin que les différents acteurs communiquent ? Et ce e-G8 arrive au bon moment. En effet, nous avons pu voir ces derniers mois qu’Internet a pris une place politico-économique. 

Le message qui a été  relayé lors de cette rencontre a été « moins de législations et un environnement plus favorable à l’investissement ».

Avant la clôture, c’est le PDG de Facebook en personne, Mark Zuckerberg, qui est monté sur scène pour une « discussion » d’une heure avec Maurice Lévy, le PDG de Publicis, qui organisait l’événement. Cette intervention devait être le bouquet final du forum. Pourtant, il n’a pas dévié d’un pouce de son discours marketing.

Pour ma part, j’ai eu l’impression d’assister  à un débat entre entrepreneurs comme le souligne le PDG d’ALCATEL-LUCENT : « Il est vrai que ces débats étaient surtout ‘des entrepreneurs parlant aux entrepreneurs’ ».

En effet, les membres de la société civile (ONG, associations et militants d’un net libre) ont fait connaître leur mécontentement de ne pas être suffisamment associés aux débats et invités à la dernière minute, perdus au milieu de dizaines de PDG.

 

SOMMAIRE

Firefox 5 déjà en version bêta
To play or not to play: Nintendo Amérique cible de hackers!

Tout sur l’E3: Electronic Entertainment Expo

La procédure d’attribution des licences mobiles 4G est lancée 
Bouton +1, du social chez Google
Une stratégie nationale de lutte contre la cybercriminalité
Skype: un défi de sécurité pour Microsoft

La réglementation des dons par SMS

L’heure de la critique: l’E G8 du 25-26 Mai 2011

Pensez ActivMail pour vos mailings à l’occasion de la fête des pères

 

 

 

L’heure de la critique : E G8 25-26 Mai 2011

L’heure de la critique : E G8 25-26 Mai 2011

C’est une première à laquelle des têtes d’affiche du monde numérique du monde entier ont répondu présent. Pour les fans de nouvelles technologies, l’e-G8 est comme Cannes pour les cinéphiles, un moment pour compter les têtes d’affiche.

Ce sont près de 1000 décideurs et observateurs de l’Internet qui se sont  réunis à Paris les 25 et 26 Mai pour participer à l’e-G8. Des pointures de l’économie numérique, comme Mark Zuckerberg, le fondateur du réseau social Facebook et Éric Schmidt, le président de Google, ont fait le déplacement.

Un appel  aux acteurs du Web à ne pas s’affranchir des règles de droit et de la morale a été lancé. Une mise en garde  contre un Internet dangereux a aussi été soulignée, celle de la pornographie et du terrorisme.

Lutte contre la pédophilie, lutte contre le terrorisme et lutte contre le téléchargement illégal : le président  Nicolas SARKOZY a rappelé les trois menaces qui le poussent à restreindre les libertés sur le Web français.

La CNIL, a réagi en envoyant un communiquée se plaignant de l’absence du thème de la protection de la vie privée lors du sommet. « Oubli ou rejet ?, se demande la CNIL.

Mais cette rencontre  n’est elle pas  importante afin que les différents acteurs communiquent ? Et ce e-G8 arrive au bon moment. En effet, nous avons pu voir ces derniers mois qu’Internet a pris une place politico-économique. 

Le message qui a été  relayé lors de cette rencontre a été « moins de législations et un environnement plus favorable à l’investissement ».

Avant la clôture, c’est le PDG de Facebook en personne, Mark Zuckerberg, qui est monté sur scène pour une « discussion » d’une heure avec Maurice Lévy, le PDG de Publicis, qui organisait l’événement. Cette intervention devait être le bouquet final du forum. Pourtant, il n’a pas dévié d’un pouce de son discours marketing.

Pour ma part, j’ai eu l’impression d’assister  à un débat entre entrepreneurs comme le souligne le PDG d’ALCATEL-LUCENT : « Il est vrai que ces débats étaient surtout ‘des entrepreneurs parlant aux entrepreneurs’ ».

En effet, les membres de la société civile (ONG, associations et militants d’un net libre) ont fait connaître leur mécontentement de ne pas être suffisamment associés aux débats et invités à la dernière minute, perdus au milieu de dizaines de PDG.

 

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Firefox 5 déjà en version bêta
To play or not to play: Nintendo Amérique cible de hackers!

Tout sur l’E3: Electronic Entertainment Expo

La procédure d’attribution des licences mobiles 4G est lancée 
Bouton +1, du social chez Google
Une stratégie nationale de lutte contre la cybercriminalité
Skype: un défi de sécurité pour Microsoft

La réglementation des dons par SMS

L’heure de la critique: l’E G8 du 25-26 Mai 2011

Pensez ActivMail pour vos mailings à l’occasion de la fête des pères

 

 

 

La réglementation des dons par SMS

La réglementation des dons par SMS

Depuis quelques années les dons par SMS sont devenus relativement fréquents. En 2004 pour le tsunami meurtrier en Asie, des chaînes mondiales de dons par voie électronique se sont rapidement mises en place et notamment par SMS.

Le coût relativement faible du don à l’unité, la simplicité, la rapidité de l’acte, et la large utilisation des téléphones portables a provoqué un succès mondial en faveur des pays touchés par la catastrophe. Mais qu’en est-il au niveau de la règlementation ? Et voyons qui peut se lancer dans le don humanitaire électronique et sous quelles conditions.

Vous avez peut être déjà envoyé un don humanitaire par SMS et ça ne vous a pris que quelques secondes ? Le temps de taper un mot ou deux (voire  aucun pour certains cas) et de faire envoyer, et ça suffit à faire un don … Simple et rapide pour donner 50 cents ou 1 euro à une organisation humanitaire.

Concrètement comment cela se passe ? Dans la législation française, tout se tient dans l’article 3 de la Loi n°91-772 du 7 août 1991 relative au congé de représentation en faveur des associations et des mutuelles et au contrôle des comptes des organismes faisant appel à la générosité publique.

Si en tant que personne morale vous souhaitez lancer un appel aux dons, vous devez avoir l’autorisation de votre préfecture qui vérifiera le bien fondé de votre demande. Petite parenthèse tout de même : des poursuites pénales pour escroquerie peuvent être engagées par la suite si les présumés dons n’ont pas été envoyés à qui de droit.

Les services SMS+ utilisés dans le but de faire appel à la générosité du public ne doivent en aucun cas user de la fonction de reversement fournie par l’opérateur à l’éditeur de service comme moyen intrinsèque de paiement de don.

Il s’agit là d’un avis, d’une recommandation déontologique et non pas d’un texte de loi. Mais tout de même, le terme “en aucun cas” ne laisse pas la moindre place au doute. 

Le SMS est un très bon vecteur pour effectuer des petits dons pour les raisons évoquées plus haut : coût unitaire faible, simple d’emploi, rapide, fiable (accusé de réception), impact à large échelle. Mais des conditions légales et déontologiques plus strictes et plus claires seraient les bienvenues.

 

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La réglementation des dons par SMS

La réglementation des dons par SMS

Depuis quelques années les dons par SMS sont devenus relativement fréquents. En 2004 pour le tsunami meurtrier en Asie, des chaînes mondiales de dons par voie électronique se sont rapidement mises en place et notamment par SMS.

Le coût relativement faible du don à l’unité, la simplicité, la rapidité de l’acte, et la large utilisation des téléphones portables a provoqué un succès mondial en faveur des pays touchés par la catastrophe. Mais qu’en est-il au niveau de la règlementation ? Et voyons qui peut se lancer dans le don humanitaire électronique et sous quelles conditions.

Vous avez peut être déjà envoyé un don humanitaire par SMS et ça ne vous a pris que quelques secondes ? Le temps de taper un mot ou deux (voire  aucun pour certains cas) et de faire envoyer, et ça suffit à faire un don … Simple et rapide pour donner 50 cents ou 1 euro à une organisation humanitaire.

Concrètement comment cela se passe ? Dans la législation française, tout se tient dans l’article 3 de la Loi n°91-772 du 7 août 1991 relative au congé de représentation en faveur des associations et des mutuelles et au contrôle des comptes des organismes faisant appel à la générosité publique.

Si en tant que personne morale vous souhaitez lancer un appel aux dons, vous devez avoir l’autorisation de votre préfecture qui vérifiera le bien fondé de votre demande. Petite parenthèse tout de même : des poursuites pénales pour escroquerie peuvent être engagées par la suite si les présumés dons n’ont pas été envoyés à qui de droit.

Les services SMS+ utilisés dans le but de faire appel à la générosité du public ne doivent en aucun cas user de la fonction de reversement fournie par l’opérateur à l’éditeur de service comme moyen intrinsèque de paiement de don.

Il s’agit là d’un avis, d’une recommandation déontologique et non pas d’un texte de loi. Mais tout de même, le terme “en aucun cas” ne laisse pas la moindre place au doute. 

Le SMS est un très bon vecteur pour effectuer des petits dons pour les raisons évoquées plus haut : coût unitaire faible, simple d’emploi, rapide, fiable (accusé de réception), impact à large échelle. Mais des conditions légales et déontologiques plus strictes et plus claires seraient les bienvenues.

 

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Skype : un défi de sécurité pour Microsoft

Skype : un défi de sécurité pour Microsoft

Skype, le service de téléphonie et de vidéo sur Internet le plus utilisé au monde, vient de connaître son tout premier souci de sécurité depuis son rachat par le géant Microsoft. Dans un communiqué, le service a souligné l’existence actuelle d’un problème de connexion et d’usage. En attendant de trouver une solution efficace et permanente, le service de téléphonie a proposé sur son site officiel une petite astuce qui devrait aider les mobinautes à contourner momentanément le problème.

Récemment racheté par la firme de Redmond, Skype a profité d’une conférence pour annoncer son intention de renforcer ses capacités à réagir rapidement en cas d’attaques ou encore de pannes. Cet aspect est des plus important, vu la fonte imminente de ce dernier dans un bouquet de produits proposé par Microsoft. Cependant, son intégration sur Windows Phone est considérée comme étant la plus importante, vu que cet apport constituera un nouveau point face à la concurrence.

Malheureusement, l’intégration de Skype sur le système d’exploitation mobile de Microsoft n’est pas une mince affaire, surtout lorsqu’il advient de l’aspect sécuritaire. Selon Matt McKinley, le directeur de la gestion des produits pour la branche américaine de Stonesoft, le niveau de sécurité impliqué par l’intégration de Skype constitue un sujet important, vu qu’actuellement, peu de documentation est disponible quant à la manière dont les éditeurs d’antivirus protègent les échanges de communication sur ce service de télécommunication. 

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Skype : un défi de sécurité pour Microsoft

Skype : un défi de sécurité pour Microsoft

Skype, le service de téléphonie et de vidéo sur Internet le plus utilisé au monde, vient de connaître son tout premier souci de sécurité depuis son rachat par le géant Microsoft. Dans un communiqué, le service a souligné l’existence actuelle d’un problème de connexion et d’usage. En attendant de trouver une solution efficace et permanente, le service de téléphonie a proposé sur son site officiel une petite astuce qui devrait aider les mobinautes à contourner momentanément le problème.

Récemment racheté par la firme de Redmond, Skype a profité d’une conférence pour annoncer son intention de renforcer ses capacités à réagir rapidement en cas d’attaques ou encore de pannes. Cet aspect est des plus important, vu la fonte imminente de ce dernier dans un bouquet de produits proposé par Microsoft. Cependant, son intégration sur Windows Phone est considérée comme étant la plus importante, vu que cet apport constituera un nouveau point face à la concurrence.

Malheureusement, l’intégration de Skype sur le système d’exploitation mobile de Microsoft n’est pas une mince affaire, surtout lorsqu’il advient de l’aspect sécuritaire. Selon Matt McKinley, le directeur de la gestion des produits pour la branche américaine de Stonesoft, le niveau de sécurité impliqué par l’intégration de Skype constitue un sujet important, vu qu’actuellement, peu de documentation est disponible quant à la manière dont les éditeurs d’antivirus protègent les échanges de communication sur ce service de télécommunication. 

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La réglementation des dons par SMS

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Une stratégie nationale de lutte contre la cybercriminalité

Une stratégie nationale de lutte contre la cybercriminalité

 Le mercredi 25 mai, le Premier ministre François Fillon a annoncé le renforcement de l’Agence Nationale de la Sécurité des Systèmes d’Information (ANSSI).

Après le piratage de Bercy pour le G20 et pleinement conscient de la hausse du nombre d’attaques informatiques, le gouvernement a jugé nécessaire « d’accélérer la montée en puissance du dispositif national de sécurité et de défense des systèmes d’information »

Ce projet s’articule autour de plusieurs axes complémentaires :

D’une part, la création d’un « groupe d’intervention rapide intégré à l’ANSSI, formé d’experts capables d’intervenir sur les systèmes d’information de l’État et des opérateurs qui en feraient la demande, qui permettra de traiter dans les meilleurs délais les attaques les plus graves. L’ANSSI préconise également d’augmenter le nombre d’agents affectés à la protection du réseau informatique ministériel.

D’autre part, constatant l’indépendance des réseaux de chacun des ministères français et pour éviter toute coupure Internet, la deuxième solution, d’après l’ANSSI, serait de construire un intranet sécurisé et « homogène » afin d’accroître la sécurité du réseau informatique ministériel.

Enfin, le Premier ministre souhaite sensibiliser aux enjeux de la cybercriminalité par, dans un premier temps, la création d’une fondation. Cette entité prendrait la forme d’un partenariat public-privé, et aura pour but de soutenir les capacités de recherche nationales et de développer un centre spécifiquement dédié à la recherche en sécurité des systèmes d’information, dans les domaines techniques et non techniques (politique, géostratégique, économique, etc.).

Puis dans un second temps, en renforçant la formation en matière de lutte contre la criminalité informatique au sein des spécialités informatiques et des écoles d’ingénieurs. Le Premier ministre souhaite également sensibiliser aux enjeux de la cyber sécurité par l’introduction de formations spécifiques dans l’enseignement supérieur.

 

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Une stratégie nationale de lutte contre la cybercriminalité

Une stratégie nationale de lutte contre la cybercriminalité

 Le mercredi 25 mai, le Premier ministre François Fillon a annoncé le renforcement de l’Agence Nationale de la Sécurité des Systèmes d’Information (ANSSI).

Après le piratage de Bercy pour le G20 et pleinement conscient de la hausse du nombre d’attaques informatiques, le gouvernement a jugé nécessaire « d’accélérer la montée en puissance du dispositif national de sécurité et de défense des systèmes d’information »

Ce projet s’articule autour de plusieurs axes complémentaires :

D’une part, la création d’un « groupe d’intervention rapide intégré à l’ANSSI, formé d’experts capables d’intervenir sur les systèmes d’information de l’État et des opérateurs qui en feraient la demande, qui permettra de traiter dans les meilleurs délais les attaques les plus graves. L’ANSSI préconise également d’augmenter le nombre d’agents affectés à la protection du réseau informatique ministériel.

D’autre part, constatant l’indépendance des réseaux de chacun des ministères français et pour éviter toute coupure Internet, la deuxième solution, d’après l’ANSSI, serait de construire un intranet sécurisé et « homogène » afin d’accroître la sécurité du réseau informatique ministériel.

Enfin, le Premier ministre souhaite sensibiliser aux enjeux de la cybercriminalité par, dans un premier temps, la création d’une fondation. Cette entité prendrait la forme d’un partenariat public-privé, et aura pour but de soutenir les capacités de recherche nationales et de développer un centre spécifiquement dédié à la recherche en sécurité des systèmes d’information, dans les domaines techniques et non techniques (politique, géostratégique, économique, etc.).

Puis dans un second temps, en renforçant la formation en matière de lutte contre la criminalité informatique au sein des spécialités informatiques et des écoles d’ingénieurs. Le Premier ministre souhaite également sensibiliser aux enjeux de la cyber sécurité par l’introduction de formations spécifiques dans l’enseignement supérieur.

 

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Bouton +1, du social chez Google

Bouton +1, du social chez Google

Et voilà, Google a officiellement lancé le bouton « Google +1 » qui est un peu comme le désormais indispensable bouton « J’aime » de Facebook. Une fois connecté sur votre compte Google vous pouvez donner votre avis sur un site en le « plussoyant », ce qui influera sur la popularité et le placement de ce site sur Google.

Annoncé depuis quelques mois, le bouton Google +1 a été lancé le 1er juin. Google revient à la charge pour s’insérer dans le monde du social et tenter de se frayer un chemin parmi la concurrence de Twitter et Facebook.

La stratégie de Google est assez simple : vous êtes webmestre, vous intégrez ce bouton à vos pages « si vous le souhaitez », et vous aurez peut-être un petit bonus, qui sait??? N’oublions pas que Google a la mainmise sur les résultats de requête

Un intérêt pour l’internaute? Bonne question! Est-ce que l’internaute utilisera vraiment ce bouton? Est-ce qu’il ira regarder les avis de ses contacts. Tout d’abord, pour que cela fonctionne, il faut, évidemment, que vos amis aient une adresse Google. Jusque là, pas une très grosse surprise. Ensuite, il faut que vos amis aient un profil Google public. Enfin, vos amis pourront accéder à vos +1.

Il faut savoir que pour l’instant même Google n’a pas intégré ce bouton sur ses pages, en tout cas, pas en France.

 

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Bouton +1, du social chez Google

Bouton +1, du social chez Google

Et voilà, Google a officiellement lancé le bouton « Google +1 » qui est un peu comme le désormais indispensable bouton « J’aime » de Facebook. Une fois connecté sur votre compte Google vous pouvez donner votre avis sur un site en le « plussoyant », ce qui influera sur la popularité et le placement de ce site sur Google.

Annoncé depuis quelques mois, le bouton Google +1 a été lancé le 1er juin. Google revient à la charge pour s’insérer dans le monde du social et tenter de se frayer un chemin parmi la concurrence de Twitter et Facebook.

La stratégie de Google est assez simple : vous êtes webmestre, vous intégrez ce bouton à vos pages « si vous le souhaitez », et vous aurez peut-être un petit bonus, qui sait??? N’oublions pas que Google a la mainmise sur les résultats de requête

Un intérêt pour l’internaute? Bonne question! Est-ce que l’internaute utilisera vraiment ce bouton? Est-ce qu’il ira regarder les avis de ses contacts. Tout d’abord, pour que cela fonctionne, il faut, évidemment, que vos amis aient une adresse Google. Jusque là, pas une très grosse surprise. Ensuite, il faut que vos amis aient un profil Google public. Enfin, vos amis pourront accéder à vos +1.

Il faut savoir que pour l’instant même Google n’a pas intégré ce bouton sur ses pages, en tout cas, pas en France.

 

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