La journée mondiale contre les DRM ou verrous numériques

Le mercredi 4 mai aura lieu la 3e Journée mondiale contre les DRM (mesures techniques de protection).

Les DRM  ou verrous numériques limitent ce que les utilisateurs peuvent faire des biens qu’ils ont légalement acquis. Ce sont des DRM qui par exemple : Empêchent de lire sur certains baladeurs des fichiers de morceaux de musique légalement acquis sur Internet, interdisent de lire un disque sur certaines chaînes hi-fi ou sur les systèmes d’exploitation libres, bloquent certains jeux vidéos sans connexion à Internet ou sans avoir le disque dans le lecteur, rendent impossible la numérisation de certains disques pour pouvoir écouter les morceaux.

Selon FSF (Free Software Foundation), Les DRM constituent une atteinte aux  droits de propriété sur les exemplaires des œuvres acquis, et ils entravent la copie privée alors même que vous vous acquittez d’une redevance en son nom.

La Journée mondiale contre les DRM est l’occasion de réaffirmer l’opposition de la FSF à l’utilisation de telles technologies.

La gestion de l’expérience client: qu’est ce exactement?
Un outil marketing puissant: le SMS

La journée mondiale contre les DRM ou verrous numériques

Le mercredi 4 mai aura lieu la 3e Journée mondiale contre les DRM (mesures techniques de protection).

Les DRM  ou verrous numériques limitent ce que les utilisateurs peuvent faire des biens qu’ils ont légalement acquis. Ce sont des DRM qui par exemple : Empêchent de lire sur certains baladeurs des fichiers de morceaux de musique légalement acquis sur Internet, interdisent de lire un disque sur certaines chaînes hi-fi ou sur les systèmes d’exploitation libres, bloquent certains jeux vidéos sans connexion à Internet ou sans avoir le disque dans le lecteur, rendent impossible la numérisation de certains disques pour pouvoir écouter les morceaux.

Selon FSF (Free Software Foundation), Les DRM constituent une atteinte aux  droits de propriété sur les exemplaires des œuvres acquis, et ils entravent la copie privée alors même que vous vous acquittez d’une redevance en son nom.

La Journée mondiale contre les DRM est l’occasion de réaffirmer l’opposition de la FSF à l’utilisation de telles technologies.

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La  notion de propriété intellectuelle contestée

L’OMPI (Organisation Mondiale de la Propriété Intellectuelle) a voulu faire du 26 avril une journée dédiée à la propriété intellectuelle. Il n’en fallait pas plus pour faire bondir l’April, l’association de promotion et de défense des logiciels libres.

Cette dernière conteste en bloc la notion de propriété intellectuelle, qui tend à appliquer les principes en usage pour les biens matériels aux biens immatériels. « On ne peut pas appliquer les mêmes schémas de pensée à des biens physiques et à des ressources immatérielles », expliquent les responsables de l’association. « Si une chaise ne peut bénéficier qu’à une seule personne à la fois, un logiciel ou un texte peuvent bénéficier à tous, sans surcoût. De la même façon, si une horloge ne peut être la propriété que d’une personne, l’information qu’elle donne peut profiter à tous».

L’April préfère ainsi des termes plus précis comme le droit d’auteur, le droit des brevets ou le droit des marques. L’organisation rappelle toutefois que le premier élément donne lieu à certains débordements, comme l’application de verrous numériques. Elle profite de l’occasion pour rappeler que le 4 mai sera la journée mondiale contre les DRM ou verrous numériques. Elle rejette également le concept des brevets logiciels, largement contraire aux principes du logiciel libre, et qui met en danger les petits éditeurs au profit de seules grandes firmes.

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Cette dernière conteste en bloc la notion de propriété intellectuelle, qui tend à appliquer les principes en usage pour les biens matériels aux biens immatériels. « On ne peut pas appliquer les mêmes schémas de pensée à des biens physiques et à des ressources immatérielles », expliquent les responsables de l’association. « Si une chaise ne peut bénéficier qu’à une seule personne à la fois, un logiciel ou un texte peuvent bénéficier à tous, sans surcoût. De la même façon, si une horloge ne peut être la propriété que d’une personne, l’information qu’elle donne peut profiter à tous».

L’April préfère ainsi des termes plus précis comme le droit d’auteur, le droit des brevets ou le droit des marques. L’organisation rappelle toutefois que le premier élément donne lieu à certains débordements, comme l’application de verrous numériques. Elle profite de l’occasion pour rappeler que le 4 mai sera la journée mondiale contre les DRM ou verrous numériques. Elle rejette également le concept des brevets logiciels, largement contraire aux principes du logiciel libre, et qui met en danger les petits éditeurs au profit de seules grandes firmes.

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Toshiba sort la 3D sans lunettes sur PC

Toshiba vient de sortir son nouvel ordinateur portable qui propose de visualiser du contenu 3D sans avoir besoin de lunettes spécifiques.

Habituellement pour visionner une image en 3D il est nécessaire d’avoir des lunettes pour distinguer entre les deux images qui forment cette technologie et qui permettent d’avoir un aperçu en relief.

Le Quosmio de Toshiba repose lui sur une technologie bien différente. Elle consiste à placer une webcam particulière en face de l’utilisateur, celle-ci détecte ensuite le mouvement de ses yeux ce qui lui permet de savoir sur quels points créer de la profondeur et générer ce même effet de relief qu’on pourrait avoir sur de la 3D classique mais sans les lunettes.

De plus, cet ordinateur portable est équipé du Spurus Engine un outil utilisé sur la PlayStation 3 et qui permet de convertir du contenu de tout type de fichiers de la 2D à de la 3D ou de visualiser simultanément des contenus en 2D et d’autres en 3D. La commercialisation du Quosmio est prévue pour cet été.

La gestion de l’expérience client: qu’est ce exactement?
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Toshiba sort la 3D sans lunettes sur PC

Toshiba vient de sortir son nouvel ordinateur portable qui propose de visualiser du contenu 3D sans avoir besoin de lunettes spécifiques.

Habituellement pour visionner une image en 3D il est nécessaire d’avoir des lunettes pour distinguer entre les deux images qui forment cette technologie et qui permettent d’avoir un aperçu en relief.

Le Quosmio de Toshiba repose lui sur une technologie bien différente. Elle consiste à placer une webcam particulière en face de l’utilisateur, celle-ci détecte ensuite le mouvement de ses yeux ce qui lui permet de savoir sur quels points créer de la profondeur et générer ce même effet de relief qu’on pourrait avoir sur de la 3D classique mais sans les lunettes.

De plus, cet ordinateur portable est équipé du Spurus Engine un outil utilisé sur la PlayStation 3 et qui permet de convertir du contenu de tout type de fichiers de la 2D à de la 3D ou de visualiser simultanément des contenus en 2D et d’autres en 3D. La commercialisation du Quosmio est prévue pour cet été.

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400 millions de licences Windows 7 dans le monde

Belle performance pour Windows 7 qui  se serait vendu à 400 millions d’exemplaires dans le monde, moins de deux ans après sa sortie.

Microsoft est heureux d’annoncer les ventes de son dernier système d’exploitation à destination des PC. Sortie le 22 octobre 2009, Windows 7 serait aujourd’hui présent dans 400 millions de PC.

Il s’agit d’une excellente courbe de ventes pour le système de Microsoft. En l’espace d’un an seulement, Windows 7 a augmenté ses ventes de 250 millions d’exemplaires. Après 18 mois d’existence, le système comptait déjà 350 millions d’utilisateurs.

Parallèlement à cette annonce, Microsoft déclare avoir vendu 100 millions de licences de Office 2010, la célèbre suite bureautique de la firme intégrant Word, Excel, Outlook et d’autres logiciels suivant les déclinaisons.

400 millions de licences Windows 7 dans le monde

Belle performance pour Windows 7 qui  se serait vendu à 400 millions d’exemplaires dans le monde, moins de deux ans après sa sortie.

Microsoft est heureux d’annoncer les ventes de son dernier système d’exploitation à destination des PC. Sortie le 22 octobre 2009, Windows 7 serait aujourd’hui présent dans 400 millions de PC.

Il s’agit d’une excellente courbe de ventes pour le système de Microsoft. En l’espace d’un an seulement, Windows 7 a augmenté ses ventes de 250 millions d’exemplaires. Après 18 mois d’existence, le système comptait déjà 350 millions d’utilisateurs.

Parallèlement à cette annonce, Microsoft déclare avoir vendu 100 millions de licences de Office 2010, la célèbre suite bureautique de la firme intégrant Word, Excel, Outlook et d’autres logiciels suivant les déclinaisons.

La Chine anti-contrefaçon

La Chine a vu sa lutte anti-contrefaçon porter ses fruits : 9000 personnes arrêtées, et la fermeture de 12854 fabriques illégales de produits contrefaits.

Selon Jiang Zengwei, vice-ministre du commerce les 9 mois de campagne sur la protection des droits de propriété intellectuelle ont permis d’arrêter 9031 personnes. Il annonce même à l’agence de presse Reuters que la question du piratage n’est plus une activité « extrêmement répandue » dans le pays.

Le gouvernement chinois a commencé par « balayer devant sa porte ». En décembre 2010, il s’était fixé comme objectif d’inspecter  les ordinateurs de ses administrations publiques afin de repérer ceux utilisant des logiciels sans aucune licence.

Selon toujours le vice-ministre, la future politique anti-contrefaçon porterait sur la sensibilisation du  pays en matière d’utilisation légale de logiciels. Désormais, la Chine pourrait mettre en place des mécanismes afin que les entreprises ou les administrations utilisent des logiciels édités par des sociétés du pays. Une mesure de bonne volonté mais qui pourrait montrer ses limites dans la mesure où aucune autorité indépendante ne serait chargée de contrôler l’utilisation légale (ou illégale) de logiciels.

Aussi, des moteurs de recherche comme Baidu sont accusés de proposer des liens conduisant vers des contenus contrefaits. Selon les Etats-Unis, Baidu agirait comme un annuaire simplifié permettant de consulter rapidement du contenu publié, parfois sans aucune autorisation. A ce titre, en mars dernier, les services américains au Commerce (USTR), avaient pointé du doigt le moteur de recherche et critiqué la Chine pour son laxisme…

La Chine anti-contrefaçon

La Chine a vu sa lutte anti-contrefaçon porter ses fruits : 9000 personnes arrêtées, et la fermeture de 12854 fabriques illégales de produits contrefaits.

Selon Jiang Zengwei, vice-ministre du commerce les 9 mois de campagne sur la protection des droits de propriété intellectuelle ont permis d’arrêter 9031 personnes. Il annonce même à l’agence de presse Reuters que la question du piratage n’est plus une activité « extrêmement répandue » dans le pays.

Le gouvernement chinois a commencé par « balayer devant sa porte ». En décembre 2010, il s’était fixé comme objectif d’inspecter  les ordinateurs de ses administrations publiques afin de repérer ceux utilisant des logiciels sans aucune licence.

Selon toujours le vice-ministre, la future politique anti-contrefaçon porterait sur la sensibilisation du  pays en matière d’utilisation légale de logiciels. Désormais, la Chine pourrait mettre en place des mécanismes afin que les entreprises ou les administrations utilisent des logiciels édités par des sociétés du pays. Une mesure de bonne volonté mais qui pourrait montrer ses limites dans la mesure où aucune autorité indépendante ne serait chargée de contrôler l’utilisation légale (ou illégale) de logiciels.

Aussi, des moteurs de recherche comme Baidu sont accusés de proposer des liens conduisant vers des contenus contrefaits. Selon les Etats-Unis, Baidu agirait comme un annuaire simplifié permettant de consulter rapidement du contenu publié, parfois sans aucune autorisation. A ce titre, en mars dernier, les services américains au Commerce (USTR), avaient pointé du doigt le moteur de recherche et critiqué la Chine pour son laxisme…