Google joue t-il au docteur?

      Le mois dernier, la version Anglaise de Google s’est lancée dans le diagnostique en ligne !

Désormais, les internautes pourront obtenir une liste de pathologies en tapant les symptômes qu’ils ressentent. Une nouvelle fonctionnalité qui laisserait les médecins sceptiques.

 En effet, des pathologies les plus bénignes aux plus graves, le moteur ne vous cache rien, en fonction de vos symptômes, il vous liste un certain nombre de maladies potentielles.  Lorsqu’un internaute entre un symptôme dans Google, il reçoit automatiquement des suggestions sous le champ de recherche.   Ce qu’il faut noter, c’est qu’on ne vous dissimule rien, il ne faudrait donc pas s’étonner que pour une recherche comportant « douleurs abdominales » on obtienne une dizaine de maladies plus ou moins grave allant d’appendicite à calculs rénaux !   Mais attention, Google lui-même met en garde les utilisateurs qui substitueraient une recherche sur le net à une visite chez le médecin, et affirme que Les listes proposées ne tiennent pas lieu de “conseils provenant d’experts médicaux”.

En réalité, l’initiative du géant répond à une demande importante d’internautes qui se tournent de plus en plus vers internet lorsqu’ils sont malades et qu’ils veulent avoir des réponses, notamment aux États Unis où la pratique est très répandue.

Finalement, cette nouvelle initiative pourrait s’avérer très utile mais risquerait tout de même de créer une panique supplémentaire chez les « cybercondriaques ».

Google joue t-il au docteur?

      Le mois dernier, la version Anglaise de Google s’est lancée dans le diagnostique en ligne !

Désormais, les internautes pourront obtenir une liste de pathologies en tapant les symptômes qu’ils ressentent. Une nouvelle fonctionnalité qui laisserait les médecins sceptiques.

 En effet, des pathologies les plus bénignes aux plus graves, le moteur ne vous cache rien, en fonction de vos symptômes, il vous liste un certain nombre de maladies potentielles.  Lorsqu’un internaute entre un symptôme dans Google, il reçoit automatiquement des suggestions sous le champ de recherche.   Ce qu’il faut noter, c’est qu’on ne vous dissimule rien, il ne faudrait donc pas s’étonner que pour une recherche comportant « douleurs abdominales » on obtienne une dizaine de maladies plus ou moins grave allant d’appendicite à calculs rénaux !   Mais attention, Google lui-même met en garde les utilisateurs qui substitueraient une recherche sur le net à une visite chez le médecin, et affirme que Les listes proposées ne tiennent pas lieu de “conseils provenant d’experts médicaux”.

En réalité, l’initiative du géant répond à une demande importante d’internautes qui se tournent de plus en plus vers internet lorsqu’ils sont malades et qu’ils veulent avoir des réponses, notamment aux États Unis où la pratique est très répandue.

Finalement, cette nouvelle initiative pourrait s’avérer très utile mais risquerait tout de même de créer une panique supplémentaire chez les « cybercondriaques ».

Windows 8 perd le boutton “Démarrer” mais gagne une interface en cloud

      Une version bêta publique de Windows 8 dite « Consumer Preview » est sortie au courant du mois de Février, mais des captures sortent déjà en Chine!

        Depuis la précédente version de Windows 8, la fonction du bouton «Démarrer » en bas à gauche de l’écran a considérablement évolué. Existant depuis 1995, il est au centre de toutes les activités dans le précédent Windows,  il se voit réduit dans Windows 8 (dit Developer Preview) à nous faire basculer entre l’interface tactile pour tablette à celle plus classique pour PC. Cette fois, Microsoft l’a déplacé et dissimulé au sein d’un menu à dérouler .

Par ailleurs, les utilisateurs pourront à l’avenir retrouver une interface plus « logique», d’un ordinateur à un autre grâce à l’apparition des services en Cloud de Microsoft.Tout ces points et plus encore seront étayés à l’occasion des Techdays les jours qui suivent.

Même si les premiers temps, il sera difficile pour nous de perdre nos reflexes lorsqu’on lancera une recherche ou une application, ce changement pourrait être une très bonne chose.

Windows 8 perd le boutton “Démarrer” mais gagne une interface en cloud

      Une version bêta publique de Windows 8 dite « Consumer Preview » est sortie au courant du mois de Février, mais des captures sortent déjà en Chine!

        Depuis la précédente version de Windows 8, la fonction du bouton «Démarrer » en bas à gauche de l’écran a considérablement évolué. Existant depuis 1995, il est au centre de toutes les activités dans le précédent Windows,  il se voit réduit dans Windows 8 (dit Developer Preview) à nous faire basculer entre l’interface tactile pour tablette à celle plus classique pour PC. Cette fois, Microsoft l’a déplacé et dissimulé au sein d’un menu à dérouler .

Par ailleurs, les utilisateurs pourront à l’avenir retrouver une interface plus « logique», d’un ordinateur à un autre grâce à l’apparition des services en Cloud de Microsoft.Tout ces points et plus encore seront étayés à l’occasion des Techdays les jours qui suivent.

Même si les premiers temps, il sera difficile pour nous de perdre nos reflexes lorsqu’on lancera une recherche ou une application, ce changement pourrait être une très bonne chose.

Un cloud à la Française, ouvert et écologique”Nuage”

      Porté par  sept PME et un laboratoire de recherches, le petit projet « nuage » se veut ouvert et éco-responsable.François Aubriot,  l’une des personnes à l’origine du projet, explique que l’initiative en matière de Cloud computing était de monter un projet autour de PME innovantes, plutôt que de grandes entreprises.

Le consortium nuage s’est formé au début de l’année 2011, grâce à des personnes dans des domaines d’excellence du savoir-faire français : réseaux, systèmes, Datacenter, stockage. Il a été soutenu dès le départ par l’ADEN, Association pour le Développement de l’Économie Numérique. Moins visible et plus modeste que le projet Andromède, l’ambition de nuage est l’externalisation de l’informatique qui devient une ressource à la demande et Créer le Cloud computing de demain : ouvert à des composantes matérielles et logicielles externes, hébergé dans des Datacenter écologiques très faiblement consommateurs d’énergie, et bien sûr réparti sur un maillage régional français

Le but est de ne pas concentrer toute la puissance de calcul et de stockage sur 1 ou 2 Datacenter seulement. Concernant la recherche et le développement : cela va aller de  l’éco-conception des bâtiments et des infrastructures (optimisation maximale de la consommation d’énergie), à la répartition dynamiques et intelligente du stockage par maillages sans oublier la répartition dynamique et intelligente des puissances de calcul.

Un cloud à la Française, ouvert et écologique”Nuage”

      Porté par  sept PME et un laboratoire de recherches, le petit projet « nuage » se veut ouvert et éco-responsable.François Aubriot,  l’une des personnes à l’origine du projet, explique que l’initiative en matière de Cloud computing était de monter un projet autour de PME innovantes, plutôt que de grandes entreprises.

Le consortium nuage s’est formé au début de l’année 2011, grâce à des personnes dans des domaines d’excellence du savoir-faire français : réseaux, systèmes, Datacenter, stockage. Il a été soutenu dès le départ par l’ADEN, Association pour le Développement de l’Économie Numérique. Moins visible et plus modeste que le projet Andromède, l’ambition de nuage est l’externalisation de l’informatique qui devient une ressource à la demande et Créer le Cloud computing de demain : ouvert à des composantes matérielles et logicielles externes, hébergé dans des Datacenter écologiques très faiblement consommateurs d’énergie, et bien sûr réparti sur un maillage régional français

Le but est de ne pas concentrer toute la puissance de calcul et de stockage sur 1 ou 2 Datacenter seulement. Concernant la recherche et le développement : cela va aller de  l’éco-conception des bâtiments et des infrastructures (optimisation maximale de la consommation d’énergie), à la répartition dynamiques et intelligente du stockage par maillages sans oublier la répartition dynamique et intelligente des puissances de calcul.

Deux vulnérabilités sur Google wallet

      Il semblerait que le système de payement Google Wallet ne soit pas encore au point, deux vulnérabilités ont été décelées.

Bien que récemment sortie, l’application n’est pas encore fiable, des experts  démontrent que le service conserve en clair le hash du code PIN qui permet de réaliser des transactions, celui-ci peut être par la suite retrouvé sans trop de difficultés. En effet, ce code PIN est composé de 4 chiffres, il n’existe donc que 10 000 combinaisons de chiffres possibles, “cracker” le code PIN de protection, (code censé protéger les données de carte bleue virtuelle) ne serait donc pas si difficile, une attaque par force brute pourrait permettre de trouver rapidement ce code. Un pirate pourrait alors, s’il possède un Smartphone, avoir accès sans problème à votre compte Wallet .

De plus, si les données sont effacées, un nouveau code PIN nous est attribué sans même une vérification sur le véritable détenteur du compte. La méthode consiste tout simplement à se rendre dans le menu de gestion des applications et de supprimer les données inscrites. Une fois ces données effacées, il suffit de se rendre de nouveau sur l’application et de rentrer le nouveau code PIN fourni. Les données bancaires se rechargent automatiquement sur votre Smartphone. Et vous permet ainsi de se connecter à nouveau au service afin d’effectuer de nouveaux paiements.

Espérons que les services de Google corrigeront ces deux vulnérabilités au plus vite !

Deux vulnérabilités sur Google wallet

      Il semblerait que le système de payement Google Wallet ne soit pas encore au point, deux vulnérabilités ont été décelées.

Bien que récemment sortie, l’application n’est pas encore fiable, des experts  démontrent que le service conserve en clair le hash du code PIN qui permet de réaliser des transactions, celui-ci peut être par la suite retrouvé sans trop de difficultés. En effet, ce code PIN est composé de 4 chiffres, il n’existe donc que 10 000 combinaisons de chiffres possibles, “cracker” le code PIN de protection, (code censé protéger les données de carte bleue virtuelle) ne serait donc pas si difficile, une attaque par force brute pourrait permettre de trouver rapidement ce code. Un pirate pourrait alors, s’il possède un Smartphone, avoir accès sans problème à votre compte Wallet .

De plus, si les données sont effacées, un nouveau code PIN nous est attribué sans même une vérification sur le véritable détenteur du compte. La méthode consiste tout simplement à se rendre dans le menu de gestion des applications et de supprimer les données inscrites. Une fois ces données effacées, il suffit de se rendre de nouveau sur l’application et de rentrer le nouveau code PIN fourni. Les données bancaires se rechargent automatiquement sur votre Smartphone. Et vous permet ainsi de se connecter à nouveau au service afin d’effectuer de nouveaux paiements.

Espérons que les services de Google corrigeront ces deux vulnérabilités au plus vite !