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Chrome attire

Google Chrome attire de plus en plus d’utilisateurs

La part de marché de Chrome, le navigateur de Google, dépasse désormais 20% alors que le leader historique Internet Explorer de Microsoft, glisse sous les 50%, selon une étude de StatCounter.

Google Chrome a multiplié sa part de marché par sept en deux ans, témoignant de la dynamique enclenchée chez le numéro un mondial des moteurs de recherche qui s’attaque depuis quelque temps aux systèmes d’exploitation et aux plateformes mobiles, ce qui le place en concurrence directe avec Microsoft.

Lancé en décembre 2008, Google Chrome comptait pour 20,7% du marché mondial des navigateurs en juin 2011 selon StatCounter, contre 2,8% en juin 2009. Sur les mêmes délais, les multiples versions d’Internet Explorer totalisent une part de marché de 44%, contre 59% deux ans auparavant. Mozilla Firefox passe de 30% à 28%.

Google enregistre ainsi une progression très bien venue au moment où il lance son offensive dans le “cloud computing”, stockage et partage de donnés. En mai, il a lancé son Chromebook, un ordinateur portable attendu de longue date, qui fonctionne quasi exclusivement avec des logiciels en ligne, et non installés sur la machine.

Microsoft a contrôlé jusqu’à 95% du marché des navigateurs sur internet au début des années 2000 après avoir écrasé le pionnier Netscape. Mais il a vu son hégémonie s’éroder petit à petit sur fond de conflits avec les régulateurs américains ou européens qui l’ont accusé et condamné pour abus de sa position dominante.

Microsoft a dû se résoudre, pour régler ces litiges, à ne pas faire d’Internet Explorer, dont il développe actuellement la version 10, le navigateur par défaut de son système Windows et a promis de rendre plus aisé l’accès à des logiciels concurrents.

Etablie à Dublin, StatCounter dit se baser sur un échantillon de 15 milliards de pages vues chaque mois sur trois millions de sites internet. Net Applications, un autre spécialiste dont les statistiques sont davantage consultées, estime quant à lui la part de marché de Chrome à 13,1% seulement, contre 53,7% pour Explorer, 21,7% pour Firefox et 7,5% pour Safari, le navigateur d’Apple.

La part de marché de Chrome, le navigateur de Google, dépasse désormais 20% alors que le leader historique Internet Explorer de Microsoft, glisse sous les 50%, selon une étude de StatCounter.

Google Chrome a multiplié sa part de marché par sept en deux ans, témoignant de la dynamique enclenchée chez le numéro un mondial des moteurs de recherche qui s’attaque depuis quelque temps aux systèmes d’exploitation et aux plateformes mobiles, ce qui le place en concurrence directe avec Microsoft.

Lancé en décembre 2008, Google Chrome comptait pour 20,7% du marché mondial des navigateurs en juin 2011 selon StatCounter, contre 2,8% en juin 2009. Sur les mêmes délais, les multiples versions d’Internet Explorer totalisent une part de marché de 44%, contre 59% deux ans auparavant. Mozilla Firefox passe de 30% à 28%.

Google enregistre ainsi une progression très bien venue au moment où il lance son offensive dans le “cloud computing”, stockage et partage de donnés. En mai, il a lancé son Chromebook, un ordinateur portable attendu de longue date, qui fonctionne quasi exclusivement avec des logiciels en ligne, et non installés sur la machine.

Microsoft a contrôlé jusqu’à 95% du marché des navigateurs sur internet au début des années 2000 après avoir écrasé le pionnier Netscape. Mais il a vu son hégémonie s’éroder petit à petit sur fond de conflits avec les régulateurs américains ou européens qui l’ont accusé et condamné pour abus de sa position dominante.

Microsoft a dû se résoudre, pour régler ces litiges, à ne pas faire d’Internet Explorer, dont il développe actuellement la version 10, le navigateur par défaut de son système Windows et a promis de rendre plus aisé l’accès à des logiciels concurrents.

Etablie à Dublin, StatCounter dit se baser sur un échantillon de 15 milliards de pages vues chaque mois sur trois millions de sites internet. Net Applications, un autre spécialiste dont les statistiques sont davantage consultées, estime quant à lui la part de marché de Chrome à 13,1% seulement, contre 53,7% pour Explorer, 21,7% pour Firefox et 7,5% pour Safari, le navigateur d’Apple.

 

Chrome attire

Google Chrome attire de plus en plus d’utilisateurs

La part de marché de Chrome, le navigateur de Google, dépasse désormais 20% alors que le leader historique Internet Explorer de Microsoft, glisse sous les 50%, selon une étude de StatCounter.

Google Chrome a multiplié sa part de marché par sept en deux ans, témoignant de la dynamique enclenchée chez le numéro un mondial des moteurs de recherche qui s’attaque depuis quelque temps aux systèmes d’exploitation et aux plateformes mobiles, ce qui le place en concurrence directe avec Microsoft.

Lancé en décembre 2008, Google Chrome comptait pour 20,7% du marché mondial des navigateurs en juin 2011 selon StatCounter, contre 2,8% en juin 2009. Sur les mêmes délais, les multiples versions d’Internet Explorer totalisent une part de marché de 44%, contre 59% deux ans auparavant. Mozilla Firefox passe de 30% à 28%.

Google enregistre ainsi une progression très bien venue au moment où il lance son offensive dans le “cloud computing”, stockage et partage de donnés. En mai, il a lancé son Chromebook, un ordinateur portable attendu de longue date, qui fonctionne quasi exclusivement avec des logiciels en ligne, et non installés sur la machine.

Microsoft a contrôlé jusqu’à 95% du marché des navigateurs sur internet au début des années 2000 après avoir écrasé le pionnier Netscape. Mais il a vu son hégémonie s’éroder petit à petit sur fond de conflits avec les régulateurs américains ou européens qui l’ont accusé et condamné pour abus de sa position dominante.

Microsoft a dû se résoudre, pour régler ces litiges, à ne pas faire d’Internet Explorer, dont il développe actuellement la version 10, le navigateur par défaut de son système Windows et a promis de rendre plus aisé l’accès à des logiciels concurrents.

Etablie à Dublin, StatCounter dit se baser sur un échantillon de 15 milliards de pages vues chaque mois sur trois millions de sites internet. Net Applications, un autre spécialiste dont les statistiques sont davantage consultées, estime quant à lui la part de marché de Chrome à 13,1% seulement, contre 53,7% pour Explorer, 21,7% pour Firefox et 7,5% pour Safari, le navigateur d’Apple.

La part de marché de Chrome, le navigateur de Google, dépasse désormais 20% alors que le leader historique Internet Explorer de Microsoft, glisse sous les 50%, selon une étude de StatCounter.

Google Chrome a multiplié sa part de marché par sept en deux ans, témoignant de la dynamique enclenchée chez le numéro un mondial des moteurs de recherche qui s’attaque depuis quelque temps aux systèmes d’exploitation et aux plateformes mobiles, ce qui le place en concurrence directe avec Microsoft.

Lancé en décembre 2008, Google Chrome comptait pour 20,7% du marché mondial des navigateurs en juin 2011 selon StatCounter, contre 2,8% en juin 2009. Sur les mêmes délais, les multiples versions d’Internet Explorer totalisent une part de marché de 44%, contre 59% deux ans auparavant. Mozilla Firefox passe de 30% à 28%.

Google enregistre ainsi une progression très bien venue au moment où il lance son offensive dans le “cloud computing”, stockage et partage de donnés. En mai, il a lancé son Chromebook, un ordinateur portable attendu de longue date, qui fonctionne quasi exclusivement avec des logiciels en ligne, et non installés sur la machine.

Microsoft a contrôlé jusqu’à 95% du marché des navigateurs sur internet au début des années 2000 après avoir écrasé le pionnier Netscape. Mais il a vu son hégémonie s’éroder petit à petit sur fond de conflits avec les régulateurs américains ou européens qui l’ont accusé et condamné pour abus de sa position dominante.

Microsoft a dû se résoudre, pour régler ces litiges, à ne pas faire d’Internet Explorer, dont il développe actuellement la version 10, le navigateur par défaut de son système Windows et a promis de rendre plus aisé l’accès à des logiciels concurrents.

Etablie à Dublin, StatCounter dit se baser sur un échantillon de 15 milliards de pages vues chaque mois sur trois millions de sites internet. Net Applications, un autre spécialiste dont les statistiques sont davantage consultées, estime quant à lui la part de marché de Chrome à 13,1% seulement, contre 53,7% pour Explorer, 21,7% pour Firefox et 7,5% pour Safari, le navigateur d’Apple.

 

Firefox 5

Firefox 5 déjà disponible en bêta

Mozilla soumet aux internautes une première version de son futur navigateur Internet. Firefox 5 bêta doit apporter plus de rapidité et de stabilité.

La fondation Mozilla ne nous avait pas habitués à un tel rythme. Deux mois seulement après la sortie de Firefox 4.0, voici déjà Firefox 5.0. Le logiciel est disponible en téléchargement en version bêta pour Windows, Mac et Linux, depuis vendredi 20 mai. Parallèlement, Mozilla publie la version mobile, pour les téléphones Android, de Firefox 5.0 bêta. Jusqu’à présent, il s’écoulait plus d’un an entre deux éditions majeures de Firefox.

Ce calendrier accéléré constitue la première application du nouveau cycle de développement de Mozilla. L’objectif est bien entendu de suivre l’évolution rapide des navigateurs et les changements des standards du Web et d’intégrer au plus vite les dernières trouvailles des développeurs. Google a déjà montré la voie avec un cycle de mise à jour ramené à quelques semaines entre deux versions majeures.

En contrepartie, ces mises à jour n’auront plus grand-chose de véritablement « majeur ». Firefox 5.0 n’échappe pas à ce constat. Outre le lot de correctifs habituels, Mozilla assure que cette nouvelle édition est plus rapide et plus stable.

La fondation met aussi l’accent sur deux nouveautés. La première n’aura pas de conséquence immédiate pour les internautes : il s’agit de la prise en charge des animations CSS. La fonction « Do not track », qui empêche le pistage des internautes par les sites Web, a par ailleurs été déplacée : on y accède désormais par l’onglet Vie privée du menu Options (et non plus par l’onglet Avancé). Cette fonction fait également son apparition dans la version pour les mobiles Android du navigateur.

Firefox 5

Firefox 5 déjà disponible en bêta

Mozilla soumet aux internautes une première version de son futur navigateur Internet. Firefox 5 bêta doit apporter plus de rapidité et de stabilité.

La fondation Mozilla ne nous avait pas habitués à un tel rythme. Deux mois seulement après la sortie de Firefox 4.0, voici déjà Firefox 5.0. Le logiciel est disponible en téléchargement en version bêta pour Windows, Mac et Linux, depuis vendredi 20 mai. Parallèlement, Mozilla publie la version mobile, pour les téléphones Android, de Firefox 5.0 bêta. Jusqu’à présent, il s’écoulait plus d’un an entre deux éditions majeures de Firefox.

Ce calendrier accéléré constitue la première application du nouveau cycle de développement de Mozilla. L’objectif est bien entendu de suivre l’évolution rapide des navigateurs et les changements des standards du Web et d’intégrer au plus vite les dernières trouvailles des développeurs. Google a déjà montré la voie avec un cycle de mise à jour ramené à quelques semaines entre deux versions majeures.

En contrepartie, ces mises à jour n’auront plus grand-chose de véritablement « majeur ». Firefox 5.0 n’échappe pas à ce constat. Outre le lot de correctifs habituels, Mozilla assure que cette nouvelle édition est plus rapide et plus stable.

La fondation met aussi l’accent sur deux nouveautés. La première n’aura pas de conséquence immédiate pour les internautes : il s’agit de la prise en charge des animations CSS. La fonction « Do not track », qui empêche le pistage des internautes par les sites Web, a par ailleurs été déplacée : on y accède désormais par l’onglet Vie privée du menu Options (et non plus par l’onglet Avancé). Cette fonction fait également son apparition dans la version pour les mobiles Android du navigateur.

Internet Explorer

Internet Explorer 9 vs. Firefox4 vs. Chrome 10? And the winner is…………

La guerre des navigateurs est  de nouveau déclarée avec Google, Microsoft et Mozilla chacun avec son propre navigateur, mis à jour. Comment Internet Explorer 9, Google Chrome 10 et Firefox 4 s’arrachent la première place?

Seth Rosenblatt du CNET’S a  testé chacun des navigateurs pour évaluer le temps de démarrage, l’utilisation de la mémoire et la performance tant de JavaScript que de HTML5.

La vitesse de démarrage  a été mesurée en cliquant sur  l’icône du navigateur et en observant combien de temps chacun des navigateurs prenait pour charger complètement six sites Web : talkingpointsmemo.com, aol.com, youtube.com, nytimes.com, giantbomb.com et cnettv.cnet.com.

Firefox a remporté la victoire : ouverture en  17.8 secondes, IE9 est deuxième avec 21.86 secondes et Chrome est  troisième avec un temps de démarrage de 26.22 secondes.

Les six mêmes sites Web ont été utilisés pour examiner la  mémoire de chaque navigateur. De nouveau, Firefox 4 est le champion, utilisant moins de mémoire (148,020 Ko), IE9 suit avec 205,616 Ko utilisés. Chrome a exigé le plus de mémoire (390,532 Ko).

 Quoique la concurrence est extrêmement étroite dans certains cas comme pour JavaScript, Firefox 4 est fortement favorisé par le traitement  HTML5, le temps de démarrage et l’utilisation de la mémoire. En général nous pouvons dire de par ces résultats que Firefox 4 est le gagnant cette fois ci.

Internet Explorer

Internet Explorer 9 vs. Firefox4 vs. Chrome 10? And the winner is…………

La guerre des navigateurs est  de nouveau déclarée avec Google, Microsoft et Mozilla chacun avec son propre navigateur, mis à jour. Comment Internet Explorer 9, Google Chrome 10 et Firefox 4 s’arrachent la première place?

Seth Rosenblatt du CNET’S a  testé chacun des navigateurs pour évaluer le temps de démarrage, l’utilisation de la mémoire et la performance tant de JavaScript que de HTML5.

La vitesse de démarrage  a été mesurée en cliquant sur  l’icône du navigateur et en observant combien de temps chacun des navigateurs prenait pour charger complètement six sites Web : talkingpointsmemo.com, aol.com, youtube.com, nytimes.com, giantbomb.com et cnettv.cnet.com.

Firefox a remporté la victoire : ouverture en  17.8 secondes, IE9 est deuxième avec 21.86 secondes et Chrome est  troisième avec un temps de démarrage de 26.22 secondes.

Les six mêmes sites Web ont été utilisés pour examiner la  mémoire de chaque navigateur. De nouveau, Firefox 4 est le champion, utilisant moins de mémoire (148,020 Ko), IE9 suit avec 205,616 Ko utilisés. Chrome a exigé le plus de mémoire (390,532 Ko).

 Quoique la concurrence est extrêmement étroite dans certains cas comme pour JavaScript, Firefox 4 est fortement favorisé par le traitement  HTML5, le temps de démarrage et l’utilisation de la mémoire. En général nous pouvons dire de par ces résultats que Firefox 4 est le gagnant cette fois ci.

critique google+

Google+ est il un événement ?

 

Google +, tel est le nom du réseau social que Google  a commencé  de lancer au mois de juin 2011.

Ce nouveau réseau social se base sur des concepts : les cercles d’amis et de relation, les déclics ou thèmes pour démarrer une conversation, les vidéos-bulles pour se montrer avec discrétion, le mobile comme support.

Coup de théâtre : après de nombreuses spéculations, Google vient d’officialiser son arrivée sur le Web social, avec un réseau permettant de communiquer et de partager. “Le partage dans la vie réelle est nuancée et riche, cela a été difficile d’inclure tout cela dans un logiciel“, explique l’entreprise. Facebook a-t-il du souci à se faire?

Mountain View semble convaincu d’apporter une révolution, largement supérieure à tout ce qui se fait aujourd’hui en matière d’Internet communautaire (Facebook, Twitter, etc.). Face à cela, certains internautes avancent que dans le cas présent, Facebook doit ressentir les mêmes choses que Google, lorsque ce dernier a vu Microsoft lancer Bing.

Le réseau social nouveau-né s’articule autour du point fort de son concepteur : la recherche en ligne. Il propose également de réunir plusieurs services qui existent déjà, tout en les rendant “meilleurs”.

Mais quelles fonctionnalités offre-t-il vraiment? Pourquoi Google+ est-il un événement?Petit tour d’horizon, avec des citations du communiqué de presse officiel:

Dans la vie, on ne partage pas n’importe quoi avec n’importe qui. Sur le web, dire la bonne chose à la bonne personne ne devrait pas être un casse-tête. Partager ce que vous voulez avec qui vous voulez ne devrait pas être une épreuve. Les cercles vous permettent de regrouper vos amis du lycée dans un cercle, vos parents dans un autre et votre boss dans un cercle bien à lui, comme dans la vraie vie.

Vous souvenez-vous des articles de journaux que votre grand-père découpait avec amour pour vous les envoyer ? C’était le bon vieux temps. C’est un peu comme ça que marchent les Déclics : ce sont des articles et des vidéos qui sont susceptibles de vous plaire, prêts à être lus, vus et partagés la prochaine fois que vous avez un moment ! Même Papy va adorer.

C’est toujours sympa de tomber par hasard sur un ami au coin d’une rue. Avec les Bulles, les rencontres improvisées deviennent possibles sur le Web. Dites à vos amis que vous êtes dispo et découvrez qui passera une tête en HD. Ce n’est pas encore tout à fait de la téléportation, mais c’est quand même très cool!

Prendre des photos et les partager, c’est sympa. Transférer une photo depuis votre téléphone pour la mettre sur le web, c’est beaucoup moins sympa. C’est pour cela que nous avons créé lnstant Upload. Dorénavant, vos photos seront mises en ligne automatiquement.

Les SMS, c’est pratique, mais pas quand on veut se mettre d’accord sur le film à voir avec 6 personnes différentes. La Clique transforme toutes ces conversations en un chat de groupe, pour que tout le monde soit synchro et ait une chance d’arriver avant que la séance commence.

Pour l’instant, tout le monde ne peut pas essayer Google +: comme son développement en est à la phase bêta, il faut une invitation pour pouvoir s’y inscrire. De plus, l’utilisateur devra disposer d’un compte Google pour pouvoir s’en servir (aussi bien maintenant que lorsque son accès sera ouvert au public). Sachant que le moteur de recherche de l’entreprise attire tous les mois un milliard de visiteurs uniques, arrivera-t-il a supplanter Facebook et ses 750 millions de membres?

critique google+

Google+ est il un événement ?

 

Google +, tel est le nom du réseau social que Google  a commencé  de lancer au mois de juin 2011.

Ce nouveau réseau social se base sur des concepts : les cercles d’amis et de relation, les déclics ou thèmes pour démarrer une conversation, les vidéos-bulles pour se montrer avec discrétion, le mobile comme support.

Coup de théâtre : après de nombreuses spéculations, Google vient d’officialiser son arrivée sur le Web social, avec un réseau permettant de communiquer et de partager. “Le partage dans la vie réelle est nuancée et riche, cela a été difficile d’inclure tout cela dans un logiciel“, explique l’entreprise. Facebook a-t-il du souci à se faire?

Mountain View semble convaincu d’apporter une révolution, largement supérieure à tout ce qui se fait aujourd’hui en matière d’Internet communautaire (Facebook, Twitter, etc.). Face à cela, certains internautes avancent que dans le cas présent, Facebook doit ressentir les mêmes choses que Google, lorsque ce dernier a vu Microsoft lancer Bing.

Le réseau social nouveau-né s’articule autour du point fort de son concepteur : la recherche en ligne. Il propose également de réunir plusieurs services qui existent déjà, tout en les rendant “meilleurs”.

Mais quelles fonctionnalités offre-t-il vraiment? Pourquoi Google+ est-il un événement?Petit tour d’horizon, avec des citations du communiqué de presse officiel:

Dans la vie, on ne partage pas n’importe quoi avec n’importe qui. Sur le web, dire la bonne chose à la bonne personne ne devrait pas être un casse-tête. Partager ce que vous voulez avec qui vous voulez ne devrait pas être une épreuve. Les cercles vous permettent de regrouper vos amis du lycée dans un cercle, vos parents dans un autre et votre boss dans un cercle bien à lui, comme dans la vraie vie.

Vous souvenez-vous des articles de journaux que votre grand-père découpait avec amour pour vous les envoyer ? C’était le bon vieux temps. C’est un peu comme ça que marchent les Déclics : ce sont des articles et des vidéos qui sont susceptibles de vous plaire, prêts à être lus, vus et partagés la prochaine fois que vous avez un moment ! Même Papy va adorer.

C’est toujours sympa de tomber par hasard sur un ami au coin d’une rue. Avec les Bulles, les rencontres improvisées deviennent possibles sur le Web. Dites à vos amis que vous êtes dispo et découvrez qui passera une tête en HD. Ce n’est pas encore tout à fait de la téléportation, mais c’est quand même très cool!

Prendre des photos et les partager, c’est sympa. Transférer une photo depuis votre téléphone pour la mettre sur le web, c’est beaucoup moins sympa. C’est pour cela que nous avons créé lnstant Upload. Dorénavant, vos photos seront mises en ligne automatiquement.

Les SMS, c’est pratique, mais pas quand on veut se mettre d’accord sur le film à voir avec 6 personnes différentes. La Clique transforme toutes ces conversations en un chat de groupe, pour que tout le monde soit synchro et ait une chance d’arriver avant que la séance commence.

Pour l’instant, tout le monde ne peut pas essayer Google +: comme son développement en est à la phase bêta, il faut une invitation pour pouvoir s’y inscrire. De plus, l’utilisateur devra disposer d’un compte Google pour pouvoir s’en servir (aussi bien maintenant que lorsque son accès sera ouvert au public). Sachant que le moteur de recherche de l’entreprise attire tous les mois un milliard de visiteurs uniques, arrivera-t-il a supplanter Facebook et ses 750 millions de membres?

twitter 5 ans

Twitter 5 ans et bientôt 200 millions d’utilisateur


Le service de micro-blogging enregistre en moyenne 500.000 nouveaux inscrits par jour. Mais si les utilisateurs répondent présent, la question de la rentabilité reste néanmoins posée.Twitter vient de souffler ses cinq bougies d’anniversaire. Lancé en  mars 2006, ce service de micro-blogging a vu son nombre d’utilisateurs exploser ces trois dernières années.


“Les gens qui utilisent Twitter en ont fait ce qu’il est aujourd’hui, et pour notre cinquième anniversaire c’est les gens qui rendent Twitter spécial que nous fêtons”, a déclaré Biz STONE, l’un des fondateurs de Twitter.

Des tonnes de tweets parcourent désormais la toile chaque jour. De l’ordre d’un milliard de messages par semaine, les données collectées depuis la création du site approcheraient aujourd’hui les 20,9 To.

En cinq ans, Twitter s’est imposé comme étant l’outil de communication où témoignent en temps réel les individus du monde entier, et ce parfois bien plus rapidement que les médias. Pour un chiffre d’affaires de l’ordre de 45 millions de dollars, le site affiche une valorisation – fictive… – de l’ordre de 7 milliards de dollars (contre 3,7 milliards en 2010).

Fort de son succès, Twitter cherche encore à stabiliser son modèle économique, notamment grâce à la publicité ciblée avec des tweets promotionnels.

twitter 5 ans

Twitter 5 ans et bientôt 200 millions d’utilisateur


Le service de micro-blogging enregistre en moyenne 500.000 nouveaux inscrits par jour. Mais si les utilisateurs répondent présent, la question de la rentabilité reste néanmoins posée.Twitter vient de souffler ses cinq bougies d’anniversaire. Lancé en  mars 2006, ce service de micro-blogging a vu son nombre d’utilisateurs exploser ces trois dernières années.


“Les gens qui utilisent Twitter en ont fait ce qu’il est aujourd’hui, et pour notre cinquième anniversaire c’est les gens qui rendent Twitter spécial que nous fêtons”, a déclaré Biz STONE, l’un des fondateurs de Twitter.

Des tonnes de tweets parcourent désormais la toile chaque jour. De l’ordre d’un milliard de messages par semaine, les données collectées depuis la création du site approcheraient aujourd’hui les 20,9 To.

En cinq ans, Twitter s’est imposé comme étant l’outil de communication où témoignent en temps réel les individus du monde entier, et ce parfois bien plus rapidement que les médias. Pour un chiffre d’affaires de l’ordre de 45 millions de dollars, le site affiche une valorisation – fictive… – de l’ordre de 7 milliards de dollars (contre 3,7 milliards en 2010).

Fort de son succès, Twitter cherche encore à stabiliser son modèle économique, notamment grâce à la publicité ciblée avec des tweets promotionnels.

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