PayPal contre-attaque et livre 1000 I.P. d’Anonymous présumés au FBI

 PayPal contre-attaque et livre 1000 I.P. d’Anonymous présumés au FBI

Anonymous en veut à PayPal depuis fin 2010, période durant laquelle il avait clôturé le compte de Wikileaks, alors dans une tourmente judiciaire et en grand besoin de dons. Le célèbre groupe de hackers, fervent défenseur du site de Julian Assange, avait alors lancé des attaques sur PayPal en décembre dernier, mettant le site hors service en le surchargeant de requêtes.Ce sont des I.P. collectées à ce moment-là que PayPal vient de transmettre au FBI, arguant qu’il s’agirait des adresses de personnes responsables des attaques par déni de service de décembre dernier. Selon The Hacker News, PayPal aurait fourni une clé USB contenant « approximativement 1 000 adresses I.P. ayant envoyé des paquets sur les serveurs de PayPal durant les attaques DDoS ».

Cette contre-attaque de PayPal arrive quelques jours seulement après l’appel au boycott lancé par Anonymous, qui conviait alors ses partisans à fermer leur compte et à « se tourner vers une alternative ». Une démarche assez peu conventionnelle de la part d’Anon, plus habitué à des méthodes musclées.Reste au FBI à démêler les nœuds de l’affaire, car on imagine assez facilement que certains des pirates ayant contribué aux attaques DDoS de décembre 2010 ont pris des précautions pour masquer leur véritable adresse I.P. En tout cas, il y a fort à parier qu’Anonymous n’apprécie pas cette réponse faite par PayPal.
 

SOMMAIRE
 
Apple vs Samsung : l’Australie privée de Galaxy Tab 10.1
L’enseignement de l’écriture cursive en voie de disparition?
PayPal contre-attaque et livre 1000 I.P. d’Anonymous présumés au FBI
La protection des données face à l’us Patriot Act
Un nouveau malware pour Android un peu trop curieux
Cinq raisons pour lesquelles les supporters d’Android le préfèrent à l’iPhone
Marché des OS : Windows XP passe sous la barre des 50%
VoIP : l’application Skype arrive enfin sur l’iPad
Nouvelle interface utilisateur en vue pour Firefox
Apple gagne enfin le contrôle du domaine ipods.com
La France face aux grandes entreprises américaines
Achat de clics sur les boutons +1, nouveau métier : cliqueurs +1
Gmail : les appels vers les lignes fixes et mobiles bientôt en France

 

PayPal contre-attaque et livre 1000 I.P. d’Anonymous présumés au FBI

 PayPal contre-attaque et livre 1000 I.P. d’Anonymous présumés au FBI

Anonymous en veut à PayPal depuis fin 2010, période durant laquelle il avait clôturé le compte de Wikileaks, alors dans une tourmente judiciaire et en grand besoin de dons. Le célèbre groupe de hackers, fervent défenseur du site de Julian Assange, avait alors lancé des attaques sur PayPal en décembre dernier, mettant le site hors service en le surchargeant de requêtes.Ce sont des I.P. collectées à ce moment-là que PayPal vient de transmettre au FBI, arguant qu’il s’agirait des adresses de personnes responsables des attaques par déni de service de décembre dernier. Selon The Hacker News, PayPal aurait fourni une clé USB contenant « approximativement 1 000 adresses I.P. ayant envoyé des paquets sur les serveurs de PayPal durant les attaques DDoS ».

Cette contre-attaque de PayPal arrive quelques jours seulement après l’appel au boycott lancé par Anonymous, qui conviait alors ses partisans à fermer leur compte et à « se tourner vers une alternative ». Une démarche assez peu conventionnelle de la part d’Anon, plus habitué à des méthodes musclées.Reste au FBI à démêler les nœuds de l’affaire, car on imagine assez facilement que certains des pirates ayant contribué aux attaques DDoS de décembre 2010 ont pris des précautions pour masquer leur véritable adresse I.P. En tout cas, il y a fort à parier qu’Anonymous n’apprécie pas cette réponse faite par PayPal.
 

SOMMAIRE
 
Apple vs Samsung : l’Australie privée de Galaxy Tab 10.1
L’enseignement de l’écriture cursive en voie de disparition?
PayPal contre-attaque et livre 1000 I.P. d’Anonymous présumés au FBI
La protection des données face à l’us Patriot Act
Un nouveau malware pour Android un peu trop curieux
Cinq raisons pour lesquelles les supporters d’Android le préfèrent à l’iPhone
Marché des OS : Windows XP passe sous la barre des 50%
VoIP : l’application Skype arrive enfin sur l’iPad
Nouvelle interface utilisateur en vue pour Firefox
Apple gagne enfin le contrôle du domaine ipods.com
La France face aux grandes entreprises américaines
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L’écriture cursive en voie de disparition?

L’enseignement de l’écriture cursive en voie de disparition?

500Comments

more +

Aux états unis, de plus en plus d’états décident d’abandonner  l’enseignement de l’écriture cursive face aux avancements technologiques.

L’Indiana est le dernier état où l’enseignement de l’écriture n’est plus obligatoire. En lieu et place, la saisie au clavier sera enseignée dans les écoles primaires.

Comme toute autre décision, il y a des partisans et des détracteurs. Les partisans disent que c’est un mouvement progressiste faisant que l’apprentissage des compétences d’écriture ne soit plus nécessaire, ce qui pour eux devient un gain de temps.

Les détracteurs disent que si les enfants n’apprennent pas l’écriture à l’école, ils seront incapables de lire des notes écrites à la main.

 

 

SOMMAIRE
 
Apple vs Samsung : l’Australie privée de Galaxy Tab 10.1
L’enseignement de l’écriture cursive en voie de disparition?
PayPal contre-attaque et livre 1000 I.P. d’Anonymous présumés au FBI
La protection des données face à l’us Patriot Act
Un nouveau malware pour Android un peu trop curieux
Cinq raisons pour lesquelles les supporters d’Android le préfèrent à l’iPhone
Marché des OS : Windows XP passe sous la barre des 50%
VoIP : l’application Skype arrive enfin sur l’iPad
Nouvelle interface utilisateur en vue pour Firefox
Apple gagne enfin le contrôle du domaine ipods.com
La France face aux grandes entreprises américaines
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L’écriture cursive en voie de disparition?

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Aux états unis, de plus en plus d’états décident d’abandonner  l’enseignement de l’écriture cursive face aux avancements technologiques.

L’Indiana est le dernier état où l’enseignement de l’écriture n’est plus obligatoire. En lieu et place, la saisie au clavier sera enseignée dans les écoles primaires.

Comme toute autre décision, il y a des partisans et des détracteurs. Les partisans disent que c’est un mouvement progressiste faisant que l’apprentissage des compétences d’écriture ne soit plus nécessaire, ce qui pour eux devient un gain de temps.

Les détracteurs disent que si les enfants n’apprennent pas l’écriture à l’école, ils seront incapables de lire des notes écrites à la main.

 

 

SOMMAIRE
 
Apple vs Samsung : l’Australie privée de Galaxy Tab 10.1
L’enseignement de l’écriture cursive en voie de disparition?
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La protection des données face à l’us Patriot Act
Un nouveau malware pour Android un peu trop curieux
Cinq raisons pour lesquelles les supporters d’Android le préfèrent à l’iPhone
Marché des OS : Windows XP passe sous la barre des 50%
VoIP : l’application Skype arrive enfin sur l’iPad
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Apple vs Samsung : l’Australie privée de Galaxy Tab 10.1

Apple vs Samsung : l’Australie privée de Galaxy Tab 10.1

Dans la guerre des brevets qui l’oppose à Samsung, Apple vient de gagner une bataille en Australie où la vente de la tablette Galaxy Tab 10.1 vient d’être stoppée. C’est la première fois dans l’affaire qu’une telle situation se produit.

C’est Bloomberg qui annonce la nouvelle : la Galaxy Tab 10.1 est interdite de territoire en Australie, suite à une décision de la Cour Fédérale du pays, basée à Sydney qui fait suite à une injonction demandée dernièrement par Apple.

La plainte initiale d’Apple fait état de la violation de 10 brevets au sein de la seule tablette de Samsung, dont le facteur de forme. La firme de Cupertino accuse en effet l’entreprise Sud-coréenne, qui l’a fourni par ailleurs en composant pour la plupart de ses dispositifs, de s’inspirer un peu trop de l’iPhone et de l’iPad pour ses propres produits.

Jusque là, les demandes d’injonction d’Apple n’avaient pas porté leurs fruits, notamment aux USA où la Cour de Californie a rejeté la demande de retrait du marché des appareils Samsung ciblés, la réciproque est également vraie, Samsung ayant fait une demande similaire, elle aussi déboutée. En ça, la décision australienne est une victoire pour Apple, mais elle peut potentiellement s’avérer dangereuse pour la firme de Steve Jobs : en effet, si les détails de cette nouvelle plaine n’ont pas tous filtré, Bloomberg explique que Samsung a accepté de fournir à la Cour australienne trois modèles de la tablette incriminée. La version australienne serait quelque peu différente de la version américaine sur laquelle se base la plainte d’Apple : de fait, si le tribunal australien jugeait que le blocage n’a pas lieu d’être, Apple serait alors obligé de verser des indemnités à Samsung, tandis que la vente de la Galaxy Tab 10.1 serait à nouveau autorisée dans le pays.

Il faudra attendre le 29 août, date à laquelle la décision concernant le cas australien sera dévoilée par le tribunal, pour savoir qui laissera des plumes au pays des kangourous. En attendant, l’affaire plus globale continue dans d’autres contrées du globe : il se murmure déjà qu’Apple souhaiterait empêcher la mise en vente du Galaxy S2 blanc fraîchement annoncé par Samsung, donc le look serait un peu trop proche de l’iPhone 4 immaculé.


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Apple vs Samsung : l’Australie privée de Galaxy Tab 10.1
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Apple vs Samsung : l’Australie privée de Galaxy Tab 10.1

Apple vs Samsung : l’Australie privée de Galaxy Tab 10.1

Dans la guerre des brevets qui l’oppose à Samsung, Apple vient de gagner une bataille en Australie où la vente de la tablette Galaxy Tab 10.1 vient d’être stoppée. C’est la première fois dans l’affaire qu’une telle situation se produit.

C’est Bloomberg qui annonce la nouvelle : la Galaxy Tab 10.1 est interdite de territoire en Australie, suite à une décision de la Cour Fédérale du pays, basée à Sydney qui fait suite à une injonction demandée dernièrement par Apple.

La plainte initiale d’Apple fait état de la violation de 10 brevets au sein de la seule tablette de Samsung, dont le facteur de forme. La firme de Cupertino accuse en effet l’entreprise Sud-coréenne, qui l’a fourni par ailleurs en composant pour la plupart de ses dispositifs, de s’inspirer un peu trop de l’iPhone et de l’iPad pour ses propres produits.

Jusque là, les demandes d’injonction d’Apple n’avaient pas porté leurs fruits, notamment aux USA où la Cour de Californie a rejeté la demande de retrait du marché des appareils Samsung ciblés, la réciproque est également vraie, Samsung ayant fait une demande similaire, elle aussi déboutée. En ça, la décision australienne est une victoire pour Apple, mais elle peut potentiellement s’avérer dangereuse pour la firme de Steve Jobs : en effet, si les détails de cette nouvelle plaine n’ont pas tous filtré, Bloomberg explique que Samsung a accepté de fournir à la Cour australienne trois modèles de la tablette incriminée. La version australienne serait quelque peu différente de la version américaine sur laquelle se base la plainte d’Apple : de fait, si le tribunal australien jugeait que le blocage n’a pas lieu d’être, Apple serait alors obligé de verser des indemnités à Samsung, tandis que la vente de la Galaxy Tab 10.1 serait à nouveau autorisée dans le pays.

Il faudra attendre le 29 août, date à laquelle la décision concernant le cas australien sera dévoilée par le tribunal, pour savoir qui laissera des plumes au pays des kangourous. En attendant, l’affaire plus globale continue dans d’autres contrées du globe : il se murmure déjà qu’Apple souhaiterait empêcher la mise en vente du Galaxy S2 blanc fraîchement annoncé par Samsung, donc le look serait un peu trop proche de l’iPhone 4 immaculé.


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Apple vs Samsung : l’Australie privée de Galaxy Tab 10.1
L’enseignement de l’écriture cursive en voie de disparition?
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La protection des données face à l’us Patriot Act
Un nouveau malware pour Android un peu trop curieux
Cinq raisons pour lesquelles les supporters d’Android le préfèrent à l’iPhone
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Nouvelles technologies

Nouvelles technologies

 

 

La Chine a vu sa lutte anti-contrefaçon porter ses fruits : 9000 personnes arrêtées, et la fermeture de 12854 fabriques illégales de produits contrefaits.
 
 Cybersécurité pour l’Europe

La Commission européenne vient de s’engager à prendre plusieurs mesures portant sur la sécurité des réseaux et la lutte contre les cyber-attaques.

Sony a annoncé le retour en ligne dans le courant de la semaine des derniers services encore indisponibles suite à leur piratage, il y a un mois et demi.

Le PSN de Sony à nouveau piraté !

Le PlayStation Network est tombé sous un nouveau hack. Il est conseillé aux utilisateurs de changer leur adresse mail d’inscription.

Fin de calvaire pour le PSN
Les affaires reprennent pour les joueurs. Sony a commencé hier (15 mai 2011) à redémarrer son réseau de jeu en ligne PlayStation Network.

24 millions de comptes du Sony Online Entertainment menacés

La firme japonaise a fermé son service de jeux en ligne Online Entertainment après avoir découvert une intrusion. Outre les comptes utilisateurs, 12.700 numéros de cartes bancaires et 10.700 relevés de débit direct ont peut-être été dérobés.

Un Smartphone flexible et fin comme du papier

Des chercheurs canadiens viennent de présenter le prototype d’un mobile fait de papier électronique : le PaperPhone.

Mise à jour iOS 4.3.3

Apple propose le téléchargement de la mise à jour iOS 4.3.3 pour ses appareils mobiles (iPod 4G, iPhone 3GS/4 et iPad 1&2) ayant pour principale fonctionnalité la modification des collectes sauvegardées de nos déplacements.

Fax imprimé et développement durable

De nombreux fax sont reçus et donc imprimés d’office. Bien souvent ces pages vont directement à la poubelle. C’est pourquoi le fax par mail qui évite toutes impressions inutiles semble être la meilleure solution.

Nouvelles technologies

Nouvelles technologies

 

 

La Chine a vu sa lutte anti-contrefaçon porter ses fruits : 9000 personnes arrêtées, et la fermeture de 12854 fabriques illégales de produits contrefaits.
 
 Cybersécurité pour l’Europe

La Commission européenne vient de s’engager à prendre plusieurs mesures portant sur la sécurité des réseaux et la lutte contre les cyber-attaques.

Sony a annoncé le retour en ligne dans le courant de la semaine des derniers services encore indisponibles suite à leur piratage, il y a un mois et demi.

Le PSN de Sony à nouveau piraté !

Le PlayStation Network est tombé sous un nouveau hack. Il est conseillé aux utilisateurs de changer leur adresse mail d’inscription.

Fin de calvaire pour le PSN
Les affaires reprennent pour les joueurs. Sony a commencé hier (15 mai 2011) à redémarrer son réseau de jeu en ligne PlayStation Network.

24 millions de comptes du Sony Online Entertainment menacés

La firme japonaise a fermé son service de jeux en ligne Online Entertainment après avoir découvert une intrusion. Outre les comptes utilisateurs, 12.700 numéros de cartes bancaires et 10.700 relevés de débit direct ont peut-être été dérobés.

Un Smartphone flexible et fin comme du papier

Des chercheurs canadiens viennent de présenter le prototype d’un mobile fait de papier électronique : le PaperPhone.

Mise à jour iOS 4.3.3

Apple propose le téléchargement de la mise à jour iOS 4.3.3 pour ses appareils mobiles (iPod 4G, iPhone 3GS/4 et iPad 1&2) ayant pour principale fonctionnalité la modification des collectes sauvegardées de nos déplacements.

Fax imprimé et développement durable

De nombreux fax sont reçus et donc imprimés d’office. Bien souvent ces pages vont directement à la poubelle. C’est pourquoi le fax par mail qui évite toutes impressions inutiles semble être la meilleure solution.

Chrome attire

Google Chrome attire de plus en plus d’utilisateurs

La part de marché de Chrome, le navigateur de Google, dépasse désormais 20% alors que le leader historique Internet Explorer de Microsoft, glisse sous les 50%, selon une étude de StatCounter.

Google Chrome a multiplié sa part de marché par sept en deux ans, témoignant de la dynamique enclenchée chez le numéro un mondial des moteurs de recherche qui s’attaque depuis quelque temps aux systèmes d’exploitation et aux plateformes mobiles, ce qui le place en concurrence directe avec Microsoft.

Lancé en décembre 2008, Google Chrome comptait pour 20,7% du marché mondial des navigateurs en juin 2011 selon StatCounter, contre 2,8% en juin 2009. Sur les mêmes délais, les multiples versions d’Internet Explorer totalisent une part de marché de 44%, contre 59% deux ans auparavant. Mozilla Firefox passe de 30% à 28%.

Google enregistre ainsi une progression très bien venue au moment où il lance son offensive dans le “cloud computing”, stockage et partage de donnés. En mai, il a lancé son Chromebook, un ordinateur portable attendu de longue date, qui fonctionne quasi exclusivement avec des logiciels en ligne, et non installés sur la machine.

Microsoft a contrôlé jusqu’à 95% du marché des navigateurs sur internet au début des années 2000 après avoir écrasé le pionnier Netscape. Mais il a vu son hégémonie s’éroder petit à petit sur fond de conflits avec les régulateurs américains ou européens qui l’ont accusé et condamné pour abus de sa position dominante.

Microsoft a dû se résoudre, pour régler ces litiges, à ne pas faire d’Internet Explorer, dont il développe actuellement la version 10, le navigateur par défaut de son système Windows et a promis de rendre plus aisé l’accès à des logiciels concurrents.

Etablie à Dublin, StatCounter dit se baser sur un échantillon de 15 milliards de pages vues chaque mois sur trois millions de sites internet. Net Applications, un autre spécialiste dont les statistiques sont davantage consultées, estime quant à lui la part de marché de Chrome à 13,1% seulement, contre 53,7% pour Explorer, 21,7% pour Firefox et 7,5% pour Safari, le navigateur d’Apple.

La part de marché de Chrome, le navigateur de Google, dépasse désormais 20% alors que le leader historique Internet Explorer de Microsoft, glisse sous les 50%, selon une étude de StatCounter.

Google Chrome a multiplié sa part de marché par sept en deux ans, témoignant de la dynamique enclenchée chez le numéro un mondial des moteurs de recherche qui s’attaque depuis quelque temps aux systèmes d’exploitation et aux plateformes mobiles, ce qui le place en concurrence directe avec Microsoft.

Lancé en décembre 2008, Google Chrome comptait pour 20,7% du marché mondial des navigateurs en juin 2011 selon StatCounter, contre 2,8% en juin 2009. Sur les mêmes délais, les multiples versions d’Internet Explorer totalisent une part de marché de 44%, contre 59% deux ans auparavant. Mozilla Firefox passe de 30% à 28%.

Google enregistre ainsi une progression très bien venue au moment où il lance son offensive dans le “cloud computing”, stockage et partage de donnés. En mai, il a lancé son Chromebook, un ordinateur portable attendu de longue date, qui fonctionne quasi exclusivement avec des logiciels en ligne, et non installés sur la machine.

Microsoft a contrôlé jusqu’à 95% du marché des navigateurs sur internet au début des années 2000 après avoir écrasé le pionnier Netscape. Mais il a vu son hégémonie s’éroder petit à petit sur fond de conflits avec les régulateurs américains ou européens qui l’ont accusé et condamné pour abus de sa position dominante.

Microsoft a dû se résoudre, pour régler ces litiges, à ne pas faire d’Internet Explorer, dont il développe actuellement la version 10, le navigateur par défaut de son système Windows et a promis de rendre plus aisé l’accès à des logiciels concurrents.

Etablie à Dublin, StatCounter dit se baser sur un échantillon de 15 milliards de pages vues chaque mois sur trois millions de sites internet. Net Applications, un autre spécialiste dont les statistiques sont davantage consultées, estime quant à lui la part de marché de Chrome à 13,1% seulement, contre 53,7% pour Explorer, 21,7% pour Firefox et 7,5% pour Safari, le navigateur d’Apple.

 

Chrome attire

Google Chrome attire de plus en plus d’utilisateurs

La part de marché de Chrome, le navigateur de Google, dépasse désormais 20% alors que le leader historique Internet Explorer de Microsoft, glisse sous les 50%, selon une étude de StatCounter.

Google Chrome a multiplié sa part de marché par sept en deux ans, témoignant de la dynamique enclenchée chez le numéro un mondial des moteurs de recherche qui s’attaque depuis quelque temps aux systèmes d’exploitation et aux plateformes mobiles, ce qui le place en concurrence directe avec Microsoft.

Lancé en décembre 2008, Google Chrome comptait pour 20,7% du marché mondial des navigateurs en juin 2011 selon StatCounter, contre 2,8% en juin 2009. Sur les mêmes délais, les multiples versions d’Internet Explorer totalisent une part de marché de 44%, contre 59% deux ans auparavant. Mozilla Firefox passe de 30% à 28%.

Google enregistre ainsi une progression très bien venue au moment où il lance son offensive dans le “cloud computing”, stockage et partage de donnés. En mai, il a lancé son Chromebook, un ordinateur portable attendu de longue date, qui fonctionne quasi exclusivement avec des logiciels en ligne, et non installés sur la machine.

Microsoft a contrôlé jusqu’à 95% du marché des navigateurs sur internet au début des années 2000 après avoir écrasé le pionnier Netscape. Mais il a vu son hégémonie s’éroder petit à petit sur fond de conflits avec les régulateurs américains ou européens qui l’ont accusé et condamné pour abus de sa position dominante.

Microsoft a dû se résoudre, pour régler ces litiges, à ne pas faire d’Internet Explorer, dont il développe actuellement la version 10, le navigateur par défaut de son système Windows et a promis de rendre plus aisé l’accès à des logiciels concurrents.

Etablie à Dublin, StatCounter dit se baser sur un échantillon de 15 milliards de pages vues chaque mois sur trois millions de sites internet. Net Applications, un autre spécialiste dont les statistiques sont davantage consultées, estime quant à lui la part de marché de Chrome à 13,1% seulement, contre 53,7% pour Explorer, 21,7% pour Firefox et 7,5% pour Safari, le navigateur d’Apple.

La part de marché de Chrome, le navigateur de Google, dépasse désormais 20% alors que le leader historique Internet Explorer de Microsoft, glisse sous les 50%, selon une étude de StatCounter.

Google Chrome a multiplié sa part de marché par sept en deux ans, témoignant de la dynamique enclenchée chez le numéro un mondial des moteurs de recherche qui s’attaque depuis quelque temps aux systèmes d’exploitation et aux plateformes mobiles, ce qui le place en concurrence directe avec Microsoft.

Lancé en décembre 2008, Google Chrome comptait pour 20,7% du marché mondial des navigateurs en juin 2011 selon StatCounter, contre 2,8% en juin 2009. Sur les mêmes délais, les multiples versions d’Internet Explorer totalisent une part de marché de 44%, contre 59% deux ans auparavant. Mozilla Firefox passe de 30% à 28%.

Google enregistre ainsi une progression très bien venue au moment où il lance son offensive dans le “cloud computing”, stockage et partage de donnés. En mai, il a lancé son Chromebook, un ordinateur portable attendu de longue date, qui fonctionne quasi exclusivement avec des logiciels en ligne, et non installés sur la machine.

Microsoft a contrôlé jusqu’à 95% du marché des navigateurs sur internet au début des années 2000 après avoir écrasé le pionnier Netscape. Mais il a vu son hégémonie s’éroder petit à petit sur fond de conflits avec les régulateurs américains ou européens qui l’ont accusé et condamné pour abus de sa position dominante.

Microsoft a dû se résoudre, pour régler ces litiges, à ne pas faire d’Internet Explorer, dont il développe actuellement la version 10, le navigateur par défaut de son système Windows et a promis de rendre plus aisé l’accès à des logiciels concurrents.

Etablie à Dublin, StatCounter dit se baser sur un échantillon de 15 milliards de pages vues chaque mois sur trois millions de sites internet. Net Applications, un autre spécialiste dont les statistiques sont davantage consultées, estime quant à lui la part de marché de Chrome à 13,1% seulement, contre 53,7% pour Explorer, 21,7% pour Firefox et 7,5% pour Safari, le navigateur d’Apple.

 

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