La Chine anti-contrefaçon

La Chine anti-contrefaçon

La Chine a vu sa lutte anti-contrefaçon porter ses fruits : 9000 personnes arrêtées, et la fermeture de 12854 fabriques illégales de produits contrefaits.

Selon Jiang Zengwei, vice-ministre du commerce les 9 mois de campagne sur la protection des droits de propriété intellectuelle ont permis d’arrêter 9031 personnes. Il annonce même à l’agence de presse Reuters que la question du piratage n’est plus une activité « extrêmement répandue » dans le pays.


Le gouvernement chinois a commencé par « balayer devant sa porte ». En décembre 2010, il s’était fixé comme objectif d’inspecter  les ordinateurs de ses administrations publiques afin de repérer ceux utilisant des logiciels sans aucune licence.


Selon toujours le vice-ministre, la future politique anti-contrefaçon porterait sur la sensibilisation du  pays en matière d’utilisation légale de logiciels. Désormais, la Chine pourrait mettre en place des mécanismes afin que les entreprises ou les administrations utilisent des logiciels édités par des sociétés du pays. Une mesure de bonne volonté mais qui pourrait montrer ses limites dans la mesure où aucune autorité indépendante ne serait chargée de contrôler l’utilisation légale (ou illégale) de logiciels.

Aussi, des moteurs de recherche comme Baidu sont accusés de proposer des liens conduisant vers des contenus contrefaits. Selon les Etats-Unis, Baidu agirait comme un annuaire simplifié permettant de consulter rapidement du contenu publié, parfois sans aucune autorisation. A ce titre, en mars dernier, les services américains au Commerce (USTR), avaient pointé du doigt le moteur de recherche et critiqué la Chine pour son laxisme…

La Chine anti-contrefaçon

La Chine anti-contrefaçon

La Chine a vu sa lutte anti-contrefaçon porter ses fruits : 9000 personnes arrêtées, et la fermeture de 12854 fabriques illégales de produits contrefaits.

Selon Jiang Zengwei, vice-ministre du commerce les 9 mois de campagne sur la protection des droits de propriété intellectuelle ont permis d’arrêter 9031 personnes. Il annonce même à l’agence de presse Reuters que la question du piratage n’est plus une activité « extrêmement répandue » dans le pays.


Le gouvernement chinois a commencé par « balayer devant sa porte ». En décembre 2010, il s’était fixé comme objectif d’inspecter  les ordinateurs de ses administrations publiques afin de repérer ceux utilisant des logiciels sans aucune licence.


Selon toujours le vice-ministre, la future politique anti-contrefaçon porterait sur la sensibilisation du  pays en matière d’utilisation légale de logiciels. Désormais, la Chine pourrait mettre en place des mécanismes afin que les entreprises ou les administrations utilisent des logiciels édités par des sociétés du pays. Une mesure de bonne volonté mais qui pourrait montrer ses limites dans la mesure où aucune autorité indépendante ne serait chargée de contrôler l’utilisation légale (ou illégale) de logiciels.

Aussi, des moteurs de recherche comme Baidu sont accusés de proposer des liens conduisant vers des contenus contrefaits. Selon les Etats-Unis, Baidu agirait comme un annuaire simplifié permettant de consulter rapidement du contenu publié, parfois sans aucune autorisation. A ce titre, en mars dernier, les services américains au Commerce (USTR), avaient pointé du doigt le moteur de recherche et critiqué la Chine pour son laxisme…

Google+ contre les pseudonymes

Google+ contre les  pseudonymes

Google a décidé qu’à la fin de ce mois de juillet, les profils Google en mode privé seraient supprimés.

Obligation pour les utilisateurs de google + d’utiliser leur vrai nom sous peine de suppression du compte.

Katie Watson, responsable des communications globales et des affaires publiques de Google s’est exprimé à ce sujet sur le site New World Notes concernant la suppression d’un compte dont l’utilisateur avait mis un faux nom. Selon Katie Watson cela témoignerait de la volonté de Google de faire de son réseau social un monde réel où on trouve de vraies personnes.Par contre, le choix de surnoms dans la section « alias » est bien possible, afin que les contacts dans un monde virtuel puissent se retrouver.

Néanmoins, Obligation irrémédiable d’avoir son vrai nom au sommet du profil sous peine de suppression du compte. Ceci est donc une différence face aux autres réseaux sociaux comme Facebook où il est possible de brouiller les pistes en modifiant son nom.

La firme reste dans son discours cohérent de transparence des comptes obligatoirement publics. Au 31 Juillet 2011 Google + devrait être disponible pur tous.

Google+ contre les pseudonymes

Google+ contre les  pseudonymes

Google a décidé qu’à la fin de ce mois de juillet, les profils Google en mode privé seraient supprimés.

Obligation pour les utilisateurs de google + d’utiliser leur vrai nom sous peine de suppression du compte.

Katie Watson, responsable des communications globales et des affaires publiques de Google s’est exprimé à ce sujet sur le site New World Notes concernant la suppression d’un compte dont l’utilisateur avait mis un faux nom. Selon Katie Watson cela témoignerait de la volonté de Google de faire de son réseau social un monde réel où on trouve de vraies personnes.Par contre, le choix de surnoms dans la section « alias » est bien possible, afin que les contacts dans un monde virtuel puissent se retrouver.

Néanmoins, Obligation irrémédiable d’avoir son vrai nom au sommet du profil sous peine de suppression du compte. Ceci est donc une différence face aux autres réseaux sociaux comme Facebook où il est possible de brouiller les pistes en modifiant son nom.

La firme reste dans son discours cohérent de transparence des comptes obligatoirement publics. Au 31 Juillet 2011 Google + devrait être disponible pur tous.

L’heure de la critique : E G8 25-26 Mai 2011

L’heure de la critique : E G8 25-26 Mai 2011

C’est une première à laquelle des têtes d’affiche du monde numérique du monde entier ont répondu présent. Pour les fans de nouvelles technologies, l’e-G8 est comme Cannes pour les cinéphiles, un moment pour compter les têtes d’affiche.

Ce sont près de 1000 décideurs et observateurs de l’Internet qui se sont  réunis à Paris les 25 et 26 Mai pour participer à l’e-G8. Des pointures de l’économie numérique, comme Mark Zuckerberg, le fondateur du réseau social Facebook et Éric Schmidt, le président de Google, ont fait le déplacement.

Un appel  aux acteurs du Web à ne pas s’affranchir des règles de droit et de la morale a été lancé. Une mise en garde  contre un Internet dangereux a aussi été soulignée, celle de la pornographie et du terrorisme.

Lutte contre la pédophilie, lutte contre le terrorisme et lutte contre le téléchargement illégal : le président  Nicolas SARKOZY a rappelé les trois menaces qui le poussent à restreindre les libertés sur le Web français.

La CNIL, a réagi en envoyant un communiquée se plaignant de l’absence du thème de la protection de la vie privée lors du sommet. « Oubli ou rejet ?, se demande la CNIL.

Mais cette rencontre  n’est elle pas  importante afin que les différents acteurs communiquent ? Et ce e-G8 arrive au bon moment. En effet, nous avons pu voir ces derniers mois qu’Internet a pris une place politico-économique. 

Le message qui a été  relayé lors de cette rencontre a été « moins de législations et un environnement plus favorable à l’investissement ».

Avant la clôture, c’est le PDG de Facebook en personne, Mark Zuckerberg, qui est monté sur scène pour une « discussion » d’une heure avec Maurice Lévy, le PDG de Publicis, qui organisait l’événement. Cette intervention devait être le bouquet final du forum. Pourtant, il n’a pas dévié d’un pouce de son discours marketing.

Pour ma part, j’ai eu l’impression d’assister  à un débat entre entrepreneurs comme le souligne le PDG d’ALCATEL-LUCENT : « Il est vrai que ces débats étaient surtout ‘des entrepreneurs parlant aux entrepreneurs’ ».

En effet, les membres de la société civile (ONG, associations et militants d’un net libre) ont fait connaître leur mécontentement de ne pas être suffisamment associés aux débats et invités à la dernière minute, perdus au milieu de dizaines de PDG.

 

SOMMAIRE

Firefox 5 déjà en version bêta
To play or not to play: Nintendo Amérique cible de hackers!

Tout sur l’E3: Electronic Entertainment Expo

La procédure d’attribution des licences mobiles 4G est lancée 
Bouton +1, du social chez Google
Une stratégie nationale de lutte contre la cybercriminalité
Skype: un défi de sécurité pour Microsoft

La réglementation des dons par SMS

L’heure de la critique: l’E G8 du 25-26 Mai 2011

Pensez ActivMail pour vos mailings à l’occasion de la fête des pères

 

 

 

L’heure de la critique : E G8 25-26 Mai 2011

L’heure de la critique : E G8 25-26 Mai 2011

C’est une première à laquelle des têtes d’affiche du monde numérique du monde entier ont répondu présent. Pour les fans de nouvelles technologies, l’e-G8 est comme Cannes pour les cinéphiles, un moment pour compter les têtes d’affiche.

Ce sont près de 1000 décideurs et observateurs de l’Internet qui se sont  réunis à Paris les 25 et 26 Mai pour participer à l’e-G8. Des pointures de l’économie numérique, comme Mark Zuckerberg, le fondateur du réseau social Facebook et Éric Schmidt, le président de Google, ont fait le déplacement.

Un appel  aux acteurs du Web à ne pas s’affranchir des règles de droit et de la morale a été lancé. Une mise en garde  contre un Internet dangereux a aussi été soulignée, celle de la pornographie et du terrorisme.

Lutte contre la pédophilie, lutte contre le terrorisme et lutte contre le téléchargement illégal : le président  Nicolas SARKOZY a rappelé les trois menaces qui le poussent à restreindre les libertés sur le Web français.

La CNIL, a réagi en envoyant un communiquée se plaignant de l’absence du thème de la protection de la vie privée lors du sommet. « Oubli ou rejet ?, se demande la CNIL.

Mais cette rencontre  n’est elle pas  importante afin que les différents acteurs communiquent ? Et ce e-G8 arrive au bon moment. En effet, nous avons pu voir ces derniers mois qu’Internet a pris une place politico-économique. 

Le message qui a été  relayé lors de cette rencontre a été « moins de législations et un environnement plus favorable à l’investissement ».

Avant la clôture, c’est le PDG de Facebook en personne, Mark Zuckerberg, qui est monté sur scène pour une « discussion » d’une heure avec Maurice Lévy, le PDG de Publicis, qui organisait l’événement. Cette intervention devait être le bouquet final du forum. Pourtant, il n’a pas dévié d’un pouce de son discours marketing.

Pour ma part, j’ai eu l’impression d’assister  à un débat entre entrepreneurs comme le souligne le PDG d’ALCATEL-LUCENT : « Il est vrai que ces débats étaient surtout ‘des entrepreneurs parlant aux entrepreneurs’ ».

En effet, les membres de la société civile (ONG, associations et militants d’un net libre) ont fait connaître leur mécontentement de ne pas être suffisamment associés aux débats et invités à la dernière minute, perdus au milieu de dizaines de PDG.

 

SOMMAIRE

Firefox 5 déjà en version bêta
To play or not to play: Nintendo Amérique cible de hackers!

Tout sur l’E3: Electronic Entertainment Expo

La procédure d’attribution des licences mobiles 4G est lancée 
Bouton +1, du social chez Google
Une stratégie nationale de lutte contre la cybercriminalité
Skype: un défi de sécurité pour Microsoft

La réglementation des dons par SMS

L’heure de la critique: l’E G8 du 25-26 Mai 2011

Pensez ActivMail pour vos mailings à l’occasion de la fête des pères

 

 

 

La réglementation des dons par SMS

La réglementation des dons par SMS

Depuis quelques années les dons par SMS sont devenus relativement fréquents. En 2004 pour le tsunami meurtrier en Asie, des chaînes mondiales de dons par voie électronique se sont rapidement mises en place et notamment par SMS.

Le coût relativement faible du don à l’unité, la simplicité, la rapidité de l’acte, et la large utilisation des téléphones portables a provoqué un succès mondial en faveur des pays touchés par la catastrophe. Mais qu’en est-il au niveau de la règlementation ? Et voyons qui peut se lancer dans le don humanitaire électronique et sous quelles conditions.

Vous avez peut être déjà envoyé un don humanitaire par SMS et ça ne vous a pris que quelques secondes ? Le temps de taper un mot ou deux (voire  aucun pour certains cas) et de faire envoyer, et ça suffit à faire un don … Simple et rapide pour donner 50 cents ou 1 euro à une organisation humanitaire.

Concrètement comment cela se passe ? Dans la législation française, tout se tient dans l’article 3 de la Loi n°91-772 du 7 août 1991 relative au congé de représentation en faveur des associations et des mutuelles et au contrôle des comptes des organismes faisant appel à la générosité publique.

Si en tant que personne morale vous souhaitez lancer un appel aux dons, vous devez avoir l’autorisation de votre préfecture qui vérifiera le bien fondé de votre demande. Petite parenthèse tout de même : des poursuites pénales pour escroquerie peuvent être engagées par la suite si les présumés dons n’ont pas été envoyés à qui de droit.

Les services SMS+ utilisés dans le but de faire appel à la générosité du public ne doivent en aucun cas user de la fonction de reversement fournie par l’opérateur à l’éditeur de service comme moyen intrinsèque de paiement de don.

Il s’agit là d’un avis, d’une recommandation déontologique et non pas d’un texte de loi. Mais tout de même, le terme “en aucun cas” ne laisse pas la moindre place au doute. 

Le SMS est un très bon vecteur pour effectuer des petits dons pour les raisons évoquées plus haut : coût unitaire faible, simple d’emploi, rapide, fiable (accusé de réception), impact à large échelle. Mais des conditions légales et déontologiques plus strictes et plus claires seraient les bienvenues.

 

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La réglementation des dons par SMS

La réglementation des dons par SMS

Depuis quelques années les dons par SMS sont devenus relativement fréquents. En 2004 pour le tsunami meurtrier en Asie, des chaînes mondiales de dons par voie électronique se sont rapidement mises en place et notamment par SMS.

Le coût relativement faible du don à l’unité, la simplicité, la rapidité de l’acte, et la large utilisation des téléphones portables a provoqué un succès mondial en faveur des pays touchés par la catastrophe. Mais qu’en est-il au niveau de la règlementation ? Et voyons qui peut se lancer dans le don humanitaire électronique et sous quelles conditions.

Vous avez peut être déjà envoyé un don humanitaire par SMS et ça ne vous a pris que quelques secondes ? Le temps de taper un mot ou deux (voire  aucun pour certains cas) et de faire envoyer, et ça suffit à faire un don … Simple et rapide pour donner 50 cents ou 1 euro à une organisation humanitaire.

Concrètement comment cela se passe ? Dans la législation française, tout se tient dans l’article 3 de la Loi n°91-772 du 7 août 1991 relative au congé de représentation en faveur des associations et des mutuelles et au contrôle des comptes des organismes faisant appel à la générosité publique.

Si en tant que personne morale vous souhaitez lancer un appel aux dons, vous devez avoir l’autorisation de votre préfecture qui vérifiera le bien fondé de votre demande. Petite parenthèse tout de même : des poursuites pénales pour escroquerie peuvent être engagées par la suite si les présumés dons n’ont pas été envoyés à qui de droit.

Les services SMS+ utilisés dans le but de faire appel à la générosité du public ne doivent en aucun cas user de la fonction de reversement fournie par l’opérateur à l’éditeur de service comme moyen intrinsèque de paiement de don.

Il s’agit là d’un avis, d’une recommandation déontologique et non pas d’un texte de loi. Mais tout de même, le terme “en aucun cas” ne laisse pas la moindre place au doute. 

Le SMS est un très bon vecteur pour effectuer des petits dons pour les raisons évoquées plus haut : coût unitaire faible, simple d’emploi, rapide, fiable (accusé de réception), impact à large échelle. Mais des conditions légales et déontologiques plus strictes et plus claires seraient les bienvenues.

 

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Tout sur l’E3: Electronic Entertainment Expo

La procédure d’attribution des licences mobiles 4G est lancée 
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Une stratégie nationale de lutte contre la cybercriminalité
Skype: un défi de sécurité pour Microsoft

La réglementation des dons par SMS

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Skype : un défi de sécurité pour Microsoft

Skype : un défi de sécurité pour Microsoft

Skype, le service de téléphonie et de vidéo sur Internet le plus utilisé au monde, vient de connaître son tout premier souci de sécurité depuis son rachat par le géant Microsoft. Dans un communiqué, le service a souligné l’existence actuelle d’un problème de connexion et d’usage. En attendant de trouver une solution efficace et permanente, le service de téléphonie a proposé sur son site officiel une petite astuce qui devrait aider les mobinautes à contourner momentanément le problème.

Récemment racheté par la firme de Redmond, Skype a profité d’une conférence pour annoncer son intention de renforcer ses capacités à réagir rapidement en cas d’attaques ou encore de pannes. Cet aspect est des plus important, vu la fonte imminente de ce dernier dans un bouquet de produits proposé par Microsoft. Cependant, son intégration sur Windows Phone est considérée comme étant la plus importante, vu que cet apport constituera un nouveau point face à la concurrence.

Malheureusement, l’intégration de Skype sur le système d’exploitation mobile de Microsoft n’est pas une mince affaire, surtout lorsqu’il advient de l’aspect sécuritaire. Selon Matt McKinley, le directeur de la gestion des produits pour la branche américaine de Stonesoft, le niveau de sécurité impliqué par l’intégration de Skype constitue un sujet important, vu qu’actuellement, peu de documentation est disponible quant à la manière dont les éditeurs d’antivirus protègent les échanges de communication sur ce service de télécommunication. 

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Skype: un défi de sécurité pour Microsoft

La réglementation des dons par SMS

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Skype : un défi de sécurité pour Microsoft

Skype : un défi de sécurité pour Microsoft

Skype, le service de téléphonie et de vidéo sur Internet le plus utilisé au monde, vient de connaître son tout premier souci de sécurité depuis son rachat par le géant Microsoft. Dans un communiqué, le service a souligné l’existence actuelle d’un problème de connexion et d’usage. En attendant de trouver une solution efficace et permanente, le service de téléphonie a proposé sur son site officiel une petite astuce qui devrait aider les mobinautes à contourner momentanément le problème.

Récemment racheté par la firme de Redmond, Skype a profité d’une conférence pour annoncer son intention de renforcer ses capacités à réagir rapidement en cas d’attaques ou encore de pannes. Cet aspect est des plus important, vu la fonte imminente de ce dernier dans un bouquet de produits proposé par Microsoft. Cependant, son intégration sur Windows Phone est considérée comme étant la plus importante, vu que cet apport constituera un nouveau point face à la concurrence.

Malheureusement, l’intégration de Skype sur le système d’exploitation mobile de Microsoft n’est pas une mince affaire, surtout lorsqu’il advient de l’aspect sécuritaire. Selon Matt McKinley, le directeur de la gestion des produits pour la branche américaine de Stonesoft, le niveau de sécurité impliqué par l’intégration de Skype constitue un sujet important, vu qu’actuellement, peu de documentation est disponible quant à la manière dont les éditeurs d’antivirus protègent les échanges de communication sur ce service de télécommunication. 

SOMMAIRE

Firefox 5 déjà en version bêta
To play or not to play: Nintendo Amérique cible de hackers!

Tout sur l’E3: Electronic Entertainment Expo

La procédure d’attribution des licences mobiles 4G est lancée 
Bouton +1, du social chez Google
Une stratégie nationale de lutte contre la cybercriminalité
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