Nouvelle interface utilisateur en vue pour Firefox

Les graphistes de la fondation Mozilla planchent actuemllement sur une nouvelle interface utilisateur pour les prochaines déclinaisons de son navigateur.

Avant la sortie de Firefox 4, les développeurs de Mozilla révélaient une nouvelle interface présentant la particularité de replacer les onglets ouverts au-dessus de la barre d’adresse et en ce sens, de suivre la tendance initiée par Opera puis Google Chrome. L’objectif avoué des graphistes était d’optimiser la lecture de la page ainsi que les interactions avec les différents éléments de la fenêtre de l’application.

L’accélération du cycle de développement de Firefox semble s’accompagner d’une nouvelle série de réflexions autour de l’ergonomie du navigateur. Les testeurs sont ainsi invités à évaluer les nightly build qui devraient se mettre à jour chaque nuit avec une nouvelle interface graphique. De son côté Mozilla analysera l’interaction de l’internaute avec l’interface utilisateur et collectera les retours d’expérience.

Nouvelle interface utilisateur en vue pour Firefox

Les graphistes de la fondation Mozilla planchent actuemllement sur une nouvelle interface utilisateur pour les prochaines déclinaisons de son navigateur.

Avant la sortie de Firefox 4, les développeurs de Mozilla révélaient une nouvelle interface présentant la particularité de replacer les onglets ouverts au-dessus de la barre d’adresse et en ce sens, de suivre la tendance initiée par Opera puis Google Chrome. L’objectif avoué des graphistes était d’optimiser la lecture de la page ainsi que les interactions avec les différents éléments de la fenêtre de l’application.

L’accélération du cycle de développement de Firefox semble s’accompagner d’une nouvelle série de réflexions autour de l’ergonomie du navigateur. Les testeurs sont ainsi invités à évaluer les nightly build qui devraient se mettre à jour chaque nuit avec une nouvelle interface graphique. De son côté Mozilla analysera l’interaction de l’internaute avec l’interface utilisateur et collectera les retours d’expérience.

Marché des OS : Windows XP passe sous la barre des 50%

Dix ans  après son lancement, Windows XP passe enfin sous la barre des 50% de parts sur le marché des systèmes d’exploitation.

D’après les chiffres publiés par TechSpot, moins de la moitié des ordinateurs tourneraient aujourd’hui sous Windows XP (49,94%). Bien que vieux de dix ans, XP a fait de la résistance suite à la sortie de Windows Vista en 2007, mais commence sérieusement à décliner face à Windows 7. Ce dernier connait une belle progression puisqu’il équipe actuellement 27,87% des machines dans le monde contre 20% fin 2010. Un développement tel qu’il devrait passer devant XP d’ici un an.

Ces chiffres rejoignent ceux avancés par StatCounter (43,89% pour XP et 36,06% pour Seven) et Netmarketshare (49,69% et 27,92%), en suivant la tendance évoquée déjà en décembre 2010.

Mais bien que Windows 7 connaisse une croissance rapide de ses parts de marché, l’ancien Windows XP a toujours une belle longueur d’avance. En connaissance de cause, Microsoft fait tout ce qu’il peut pour attirer les utilisateurs de XP vers Windows 7, notamment les professionnels, toujours réticents à mettre en œuvre la migration vers Windows 7. Ainsi en avril 2009, Microsoft a mis fin au support technique pour XP mais maintient les mises à jour de sécurité jusqu’en avril 2014. Donc Microsoft devrait arrêter définitivement de supporter Windows XP dans trois ans.

En attendant la firme de Redmond peut se reposer sur sa suprématie dans le domaine des OS. 87,66% des ordinateurs dans le monde sont en effet selon cette méthode de mesure équipés d’un système de Microsoft, très loin devant Mac OS (5,59%) et Linux (0,98%). Il faut noter enfin que dans ce système de mesure, qui repose sur des statistiques réalisées au niveau d’un large périmètre de sites Web, les autres systèmes d’exploitation, OS mobiles compris, restent marginaux (5,77%) mais connaissent une progression continue.

Marché des OS : Windows XP passe sous la barre des 50%

Dix ans  après son lancement, Windows XP passe enfin sous la barre des 50% de parts sur le marché des systèmes d’exploitation.

D’après les chiffres publiés par TechSpot, moins de la moitié des ordinateurs tourneraient aujourd’hui sous Windows XP (49,94%). Bien que vieux de dix ans, XP a fait de la résistance suite à la sortie de Windows Vista en 2007, mais commence sérieusement à décliner face à Windows 7. Ce dernier connait une belle progression puisqu’il équipe actuellement 27,87% des machines dans le monde contre 20% fin 2010. Un développement tel qu’il devrait passer devant XP d’ici un an.

Ces chiffres rejoignent ceux avancés par StatCounter (43,89% pour XP et 36,06% pour Seven) et Netmarketshare (49,69% et 27,92%), en suivant la tendance évoquée déjà en décembre 2010.

Mais bien que Windows 7 connaisse une croissance rapide de ses parts de marché, l’ancien Windows XP a toujours une belle longueur d’avance. En connaissance de cause, Microsoft fait tout ce qu’il peut pour attirer les utilisateurs de XP vers Windows 7, notamment les professionnels, toujours réticents à mettre en œuvre la migration vers Windows 7. Ainsi en avril 2009, Microsoft a mis fin au support technique pour XP mais maintient les mises à jour de sécurité jusqu’en avril 2014. Donc Microsoft devrait arrêter définitivement de supporter Windows XP dans trois ans.

En attendant la firme de Redmond peut se reposer sur sa suprématie dans le domaine des OS. 87,66% des ordinateurs dans le monde sont en effet selon cette méthode de mesure équipés d’un système de Microsoft, très loin devant Mac OS (5,59%) et Linux (0,98%). Il faut noter enfin que dans ce système de mesure, qui repose sur des statistiques réalisées au niveau d’un large périmètre de sites Web, les autres systèmes d’exploitation, OS mobiles compris, restent marginaux (5,77%) mais connaissent une progression continue.

Cinq raisons pour lesquelles les supporters d’Android le préfèrent à l’iPhone

Comme toute autre comparaison, chaque point pourrait ici être discuté.

Options d’application. Avec la plate-forme d’Androïde, il faut juste taper sur le bouton du menu pour arriver aux options d’application, même si l’application est en cours d’exécution. Ce qui laisse une forte ressemblance avec le fonctionnement d’un ordinateur. Par contre, sur l’iPhone, il y a plusieurs étapes pour arriver aux options d’application.

Mises à jour. Celui-ci plombe l’iPhone. Pour obtenir des mises à jour (particulièrement des mises à jour de microprogramme) l’iPhone doit être connecté à iTunes. L’androïde, d’autre part, offre deux façons d’obtenir des mises à jour : OTA (on the air) ou l’utilisation d’un outil tiers qui permet à la mise à jour d’être installée via un PC. L’outil tiers dépendra du fabricant du téléphone.

Pas d’iTunes. Tout le monde  n’aime pas iTunes et ce pour plusieurs raisons. Apple vous force à utiliser ITunes pour gérer entièrement votre iPhone. Avec la plate-forme d’Androïde, il n’y a pas une seule application pour gérer le téléphone. En fait, un téléphone Androïde peut être géré par des applications  multiples et dans des plates-formes multiples.

Multi gestion. La plate-forme d’Androïde fait de la vraie multi gestion. Apple prétend que l’Iphone aussi fait de la multi gestion. Avec l’Androïde, tout ce qu’il y a à faire c’est maintenir le bouton Home pour voir une liste des applications en cours d’exécution. Par cette liste, vous pouvez switcher  entre des applications à tout moment. Il y a des applications d’Androïde même tierces (comme la power strip) qui peuvent être installées et qui renforcent la multi gestion.

Installation d’applications. Avec la plate-forme d’Androïde, il est possible d’installer des applications du Marché d’Androïde, de votre PC en copiant simplement le fichier sur le portable, ou même via Bluetooth. En fait, vous pouvez installer des applications « faites maison » aussi facilement que des applications “officielles” créées par des développeurs d’Androïde. Pour les développeurs, ceci est un vrai avantage car pouvant ainsi tester leurs applications.

Cinq raisons pour lesquelles les supporters d’Android le préfèrent à l’iPhone

Comme toute autre comparaison, chaque point pourrait ici être discuté.

Options d’application. Avec la plate-forme d’Androïde, il faut juste taper sur le bouton du menu pour arriver aux options d’application, même si l’application est en cours d’exécution. Ce qui laisse une forte ressemblance avec le fonctionnement d’un ordinateur. Par contre, sur l’iPhone, il y a plusieurs étapes pour arriver aux options d’application.

Mises à jour. Celui-ci plombe l’iPhone. Pour obtenir des mises à jour (particulièrement des mises à jour de microprogramme) l’iPhone doit être connecté à iTunes. L’androïde, d’autre part, offre deux façons d’obtenir des mises à jour : OTA (on the air) ou l’utilisation d’un outil tiers qui permet à la mise à jour d’être installée via un PC. L’outil tiers dépendra du fabricant du téléphone.

Pas d’iTunes. Tout le monde  n’aime pas iTunes et ce pour plusieurs raisons. Apple vous force à utiliser ITunes pour gérer entièrement votre iPhone. Avec la plate-forme d’Androïde, il n’y a pas une seule application pour gérer le téléphone. En fait, un téléphone Androïde peut être géré par des applications  multiples et dans des plates-formes multiples.

Multi gestion. La plate-forme d’Androïde fait de la vraie multi gestion. Apple prétend que l’Iphone aussi fait de la multi gestion. Avec l’Androïde, tout ce qu’il y a à faire c’est maintenir le bouton Home pour voir une liste des applications en cours d’exécution. Par cette liste, vous pouvez switcher  entre des applications à tout moment. Il y a des applications d’Androïde même tierces (comme la power strip) qui peuvent être installées et qui renforcent la multi gestion.

Installation d’applications. Avec la plate-forme d’Androïde, il est possible d’installer des applications du Marché d’Androïde, de votre PC en copiant simplement le fichier sur le portable, ou même via Bluetooth. En fait, vous pouvez installer des applications « faites maison » aussi facilement que des applications “officielles” créées par des développeurs d’Androïde. Pour les développeurs, ceci est un vrai avantage car pouvant ainsi tester leurs applications.

Un nouveau malware pour Android un peu trop curieux

Si le système android enregistre une croissance époustouflante ces dernières années, il est également de plus en plus la cible de nouveaux malwares.

Android.Pjapp, Droid Dream Light ou encore GGTracker, les vers se multiplient sur la plateforme Android et le cabinet CA Technologies, spécialisé dans la sécurité, a repéré un nouveau cheval de Troie baptisé cette fois Golddream.A et capable d’enregistrer les conversations téléphoniques.

Selon un récent rapport du cabinet Mobile Lookout, depuis l’apparition du ver DroidDream, les détenteurs d’un smartphone Android auraient 2,5 fois plus de chance de rencontrer un malware car ce dernier se dissimule au sein d’applications tierces. Pour sa part Golddream.A s’active à chaque appel sortant ou entrant et enregistre sur la carte SD l’intégralité des conversations au format .amr. Le ver procède ensuite au téléchargement d’un petit fichier lui indiquant le serveur distant vers lequel il doit envoyer  l’enregistrement.

Les experts de CA Technologies ajoutent que ce malware « a d’autres fonctionnalités que nous avions précédemment observé sur les autres malwares ciblant la plateforme Android ». Depuis le serveur distant, le hacker serait en mesure de prendre le contrôle de l’appareil ou d’effectuer des appels surtaxés.

Un nouveau malware pour Android un peu trop curieux

Si le système android enregistre une croissance époustouflante ces dernières années, il est également de plus en plus la cible de nouveaux malwares.

Android.Pjapp, Droid Dream Light ou encore GGTracker, les vers se multiplient sur la plateforme Android et le cabinet CA Technologies, spécialisé dans la sécurité, a repéré un nouveau cheval de Troie baptisé cette fois Golddream.A et capable d’enregistrer les conversations téléphoniques.

Selon un récent rapport du cabinet Mobile Lookout, depuis l’apparition du ver DroidDream, les détenteurs d’un smartphone Android auraient 2,5 fois plus de chance de rencontrer un malware car ce dernier se dissimule au sein d’applications tierces. Pour sa part Golddream.A s’active à chaque appel sortant ou entrant et enregistre sur la carte SD l’intégralité des conversations au format .amr. Le ver procède ensuite au téléchargement d’un petit fichier lui indiquant le serveur distant vers lequel il doit envoyer  l’enregistrement.

Les experts de CA Technologies ajoutent que ce malware « a d’autres fonctionnalités que nous avions précédemment observé sur les autres malwares ciblant la plateforme Android ». Depuis le serveur distant, le hacker serait en mesure de prendre le contrôle de l’appareil ou d’effectuer des appels surtaxés.

La protection des données face au us Patriot Act

Les membres du Parlement Européen ont exigé de savoir la décision du législateur concernant le  conflit entre la Directive de Protection de Données de l’Union Européenne et le us Patriot Act.

Le problème s’est accentué après que Microsoft ait admis la possibilité de  remettre les données des clients européens aux autorités américaines. Microsoft  peut aussi être contraint selon le us Patriot Act de garder secrets certains transferts de données. Ceci est directement contraire à la directive européenne, qui déclare que les organisations doivent informer les utilisateurs quand ils divulguent des informations personnelles.

Microsoft peut déjà transférer des données de l’Union Européenne aux États-Unis conformément au Safe Harbor Agreement. Mais les experts  ont averti que cet accord est très léger. Il y a sept principes de sécurité, dont la sécurité des informations avec  un renforcement efficace et clair. Cependant tout est annulé dès lors que le Patriot Act est invoqué.

La décision de transférer les données sera reçue comme un coup pour les cloud computers enregistrés aux USA y compris chez Microsoft, Facebook et Google. Le nouveau service cloud de Microsoft, qui sera lancée très bientôt, répartira les régions géographiques où les données des clients seront physiquement stockées. Mais le géant de l’informatique ne pouvait pas garantir que les informations des utilisateurs de l’Union Européenne ne seraient pas divulguées : “dans un nombre limité de circonstances, Microsoft peut devoir divulguer des données sans votre consentement antérieur.”

La protection des données face au us Patriot Act

Les membres du Parlement Européen ont exigé de savoir la décision du législateur concernant le  conflit entre la Directive de Protection de Données de l’Union Européenne et le us Patriot Act.

Le problème s’est accentué après que Microsoft ait admis la possibilité de  remettre les données des clients européens aux autorités américaines. Microsoft  peut aussi être contraint selon le us Patriot Act de garder secrets certains transferts de données. Ceci est directement contraire à la directive européenne, qui déclare que les organisations doivent informer les utilisateurs quand ils divulguent des informations personnelles.

Microsoft peut déjà transférer des données de l’Union Européenne aux États-Unis conformément au Safe Harbor Agreement. Mais les experts  ont averti que cet accord est très léger. Il y a sept principes de sécurité, dont la sécurité des informations avec  un renforcement efficace et clair. Cependant tout est annulé dès lors que le Patriot Act est invoqué.

La décision de transférer les données sera reçue comme un coup pour les cloud computers enregistrés aux USA y compris chez Microsoft, Facebook et Google. Le nouveau service cloud de Microsoft, qui sera lancée très bientôt, répartira les régions géographiques où les données des clients seront physiquement stockées. Mais le géant de l’informatique ne pouvait pas garantir que les informations des utilisateurs de l’Union Européenne ne seraient pas divulguées : “dans un nombre limité de circonstances, Microsoft peut devoir divulguer des données sans votre consentement antérieur.”